Marine Le Pen a peu de convictions mais elle a de l’instinct.
En choisissant pour sa rentrée politique à Fréjus de cibler exclusivement — allant ainsi à l’encontre de ses tropismes gauchisants — les questions sécuritaires au moment où la France voit se développer sur son sol la barbarie venue d’ailleurs, elle sait qu’elle sera entendue par les Français à qui elle demande de se « réveiller » oubliant au passage l’endormissement de son propre parti.
Mais un bon discours ne suffit pas à faire le printemps national…
Jean-François Touzé, Délégué général.
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