Par Bruno Hirout, Secrétaire général du Parti de la France
La finale de champions league entre le Paris Saint-Germain et le Bayern de Munich a donné lieu à des scènes surréalistes à Marseille et à Paris.
A Marseille tout d’abord, le préfet a interdit le port de signes distinctifs parisiens (maillot, écharpe, etc.) avant de se rétracter face au tollé provoqué, mais il a quand même tenu à inviter les supporters parisiens présents à Marseille à se faire discrets et à ne pas célébrer trop fort d’éventuels buts ou victoire.
A Paris, autre scène surréaliste : ce sont le préfet et le ministre de l’Intérieur qui ont convoqué la presse pour présenter la carte de leur plan de bataille, pendant que les magasins barricadaient leurs vitrines.
Une ville qui a peur que des supporters soient massacrés par les locaux, une capitale qui anticipe des débordements et des violences, tout cela n’a pas à être mis sur le dos du football mais sur celui de l’ensauvagement de notre société. Une ensauvagement qui ne vient pas de nulle part, mais de la racaille largement d’origine étrangère.
Les supporters et le football sont innocents, la politique migratoire et la politique sécuritaire, laxistes au possible, sont les seules responsables.
Pour que le pays devienne respirable, pour que la fête continue d’être possible, foutons dehors la racaille étrangère et remettons au pas chaque « territoire perdu » de leur république.
Communiqués
0 commentaires