Une nouvelle tribune élaborée par des militaires français et alertant publiquement sur l’état de délitement du pays, ce qui est une nouveauté surtout pour des militaires d’active, a de nouveau fait réagir le camp de l’anti-France.
L’inénarrable Jean-Luc Mélenchon s’est permis de traiter les militaires de lâches, car la tribune ne révèle pas le nom des militaires impliqués dans cette entreprise salutaire d’appel aux élites.
L’ordure anti-blanche Jean-Luc Mélenchon, qui ambitionne de devenir le chef de l’Etat, a déclaré « Moi je n’ai pas peur, je dis mon nom et ce que je ferais si je suis élu : purger l’armée de ses membres factieux. »
On reconnaît bien là l’apprenti-dictateur communiste qui, face à des citoyens qui expriment leur inquiétude, n’a que la purge à proposer.
De plus, en voulant se faire plus courageux que les militaires parce que sa majesté n’est pas anonyme, Jean-Luc Mélenchon met en avant la réalité de ce qu’il est : un pépère inoffensif pour le système, ce qui est normal pour une serpillère qui a passé plus de vingt ans à remplir son portefeuille bien installé dans son siège de sénateur socialiste avant de se découvrir, une fois les poches et la panse bien pleines, une âme de révolutionnaire gauchiste.
De son côté, le premier flic de France, Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur d’un pays où la criminalité et la délinquance sont devenues le quotidien de centaines de milliers de colons allogènes installés en France, a trouvé le temps, lui aussi, de prétendre que les auteurs de la tribune ne sont pas courageux car ils n’ont pas donné leurs noms.
Ce que le pitre Mélenchon et l’incompétent Darmanin font semblant de ne pas comprendre, c’est que les réactions hystériques de la Macronie, et notamment du ministre de Armées Florence Parly, obligent les militaires patriotes à rester prudents pour le moment, sous peine d’être sanctionnés voire éjectés, et d’être livrés à la vindicte journalistique.
Cette nouvelle tribune, malgré ses faiblesses doctrinales, est une pierre de plus apportée à la nécessaire rupture radicale que les hommes politiques de demain devront opérer d’avec la politique menée ces dernières décennies. D’ailleurs, je constate avec satisfaction l’appel d’un syndicat de police qui, dans un texte là aussi à revoir en terme de doctrine, a appelé au soutien de l’armée pour nettoyer ce que France Police appelle « les territoires perdus de la République », ce qu’il vaudrait d’ailleurs mieux appeler les territoires colonisés.
Le Parti de la France soutient bien évidemment tous les militaires patriotes, et les invite, une fois passé le cap légitime de l’expression de la colère, à se former et à s’engager pour la cause nationale. Le Parti de la France est à la disposition de toutes les bonnes volontés, pour assurer la paix et la souveraineté du peuple français, ainsi que l’intégrité de notre territoire.
Bruno Hirout Secrétaire général du Parti de la France.
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