Ce 17 avril, à Rennes, s’est déroulée – en plein jour – une véritable scène de guerre : des tirs nourris à l’arme automatique sur un point de deal. Le genre d’image que l’on croyait réservée à Medellín ou à Rio de Janeiro. Mais non, c’est en Bretagne, au cœur de la France, que la barbarie s’installe. Car soyons clairs : ce n’est plus une insécurité diffuse, c’est une guerre de territoire. Et cette guerre, nous la perdons.
Nous la perdons parce que depuis quarante ans, les gouvernements se succèdent et se ressemblent : faibles avec les forts, forts avec les faibles. Le narcotrafic prospère, porté par une immigration massive, incontrôlée, qui a importé avec elle ses réseaux, ses mœurs et sa violence. Le juge relâche quand le policier arrête. Le délinquant rit, le citoyen pleure.
La République a déserté. L’État s’efface. Le laxisme judiciaire est devenu une norme. Les peines sont symboliques, la prison est devenue un centre de vacances pour la racaille et l’on s’étonne que les Kalachnikovs parlent ?
Il faut un sursaut. Il faut frapper fort. Rétablir la peine de mort pour les trafiquants les plus dangereux, ceux qui tuent notre jeunesse à petit feu. Il faut des peines exemplaires, dissuasives, sans remise, sans excuse.
Il faut expulser tous les délinquants étrangers et, avec eux, leurs familles complices ou complaisantes. La nationalité française ne peut être un bouclier pour ceux qui haïssent la France, les binationaux (très nombreux) en seront déchus.
Il faut redonner à la police les moyens d’agir, des consignes claires de reconquête et la protection judiciaire qui va avec. Qu’ils n’aient plus peur d’intervenir. Qu’ils n’aient plus peur de faire leur travail.
Et s’il le faut, créons une force d’élite, un « BOPE » à la française, une troupe formée, surarmée, déterminée à éradiquer la racaille et reprendre chaque mètre carré de notre territoire abandonné.
Car sans ordre, il n’y a pas de liberté. Sans autorité, il n’y a pas de France.
Thomas Joly – Président du Parti de la France
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