Cinq ans après le premier confinement : souvenons-nous du délire sanitaire

24 Mar 2025 | Non classé | 0 commentaires

Il y a cinq ans jour pour jour, Emmanuel Macron imposait à notre pays le premier confinement généralisé, transformant la France en une prison à ciel ouvert de 67 millions de taulards assignés à résidence, privés de la liberté fondamentale d’aller et venir, au nom d’une gestion sanitaire délirante, autoritaire et surtout totalement inutile.

Nous savons désormais que cette mesure a détruit plus de vies qu’elle n’en a sauvé. Elle n’en a d’ailleurs sauvé aucune.

Dès le début, le Parti de la France fut le seul à dénoncer cette dérive liberticide, alors que la totalité de la classe politique, tous partis confondus, se vautrait dans la soumission et la peur. Des partis de paniquards qui veulent nous pousser à la guerre tandis qu’ils ne se sentaient pas capables psychologiquement d’affronter une grippe.

Trois années durant, les Français ont subi des confinements aléatoires absurdes, des couvre-feux infantilisants, un pass sanitaire humiliant et une propagande de masse, pendant que les libertés fondamentales étaient méthodiquement piétinées.

Aujourd’hui, l’hypocrisie atteint son paroxysme : Emmanuel Macron, qui a enfermé son propre peuple, se permet de donner des leçons de démocratie à la terre entière.

À chaque discours, il se drape dans les grands principes, fustige les régimes autoritaires – ou prétendus comme tels – et s’improvise grand défenseur des libertés… Lui qui, en réalité, n’a fait que prouver sa fascination pour le contrôle social de masse.

Les mêmes qui dénoncent la propagande d’État en Russie ont oublié celle qui, chez nous, a été diffusée à longueur de journée par les médias aux ordres, orchestrée par un pouvoir qui n’a pas hésité à diviser les Français entre « bons vaccinés » et « irresponsables ».

Le narratif de peur, les injonctions absurdes, la surveillance généralisée : tout cela, nous l’avons vécu ici, en France. Trois années de vie ont été volées par un gouvernement de pervers et de gens si « spéciaux », pour rester mesuré.

Pendant ce temps sombre, Donald Trump, alors président des États-Unis, appelait les Américains à libérer leurs États des confinements abusifs.

Le 17 avril 2020, il écrivait : « LIBERATE MINNESOTA ! » – « LIBERATE MICHIGAN ! » – « LIBERATE VIRGINIA ! »

Un appel à la liberté face au délire sanitaire, pendant qu’Emmanuel Macron, lui, organisait la mise sous cloche de tout un pays, sans débat, sans contre-pouvoir, sans honte.

Le Parti de la France appelle les Français à ne pas oublier cette séquence gravissime de notre Histoire récente.

Car une Nation qui oublie comment ses libertés ont été confisquées est une Nation prête à se faire à nouveau enchaîner.

Souvenons-nous. Résistons. Ne pardonnons pas.

Pierre-Nicolas Nups – Secrétaire général du Parti de la France

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