Par Jean-François Touzé, Délégué général
La France, Ă©touffĂ©e par la gestion aberrante d’une crise sanitaire/alibi, sombre dans la rĂ©cession. Des dizaines de milliers d’entreprises sont menacĂ©es entraĂ®nant un effondrement tragique de l’emploi. Les services hospitaliers sont bamakoĂŻsĂ©s. L’ensauvaugement se rĂ©pand comme une traĂ®nĂ©e de poudre noire. La survie de certains services publics essentiels Ă la vie de la Nation et au quotidien des Français n’est encore assurĂ©e que par le recours massif et exponentiel Ă l’emprunt qui nous soumet Ă la finance Ă©trangère. Une crise sociale sans prĂ©cĂ©dent se prĂ©pare.
Le plan budgĂ©taire prĂ©sentĂ© lundi par le ministre de l’Ă©conomie et des Finances, Bruno Le Maire, relève, quant Ă lui, de la plus sombre insincĂ©ritĂ© puisqu’il repose sur une prĂ©vision de croissance de 8% l’annĂ©e prochaine, prĂ©vision qui ne se fond que sur le recours embrumĂ© Ă la mĂ©thode cĂ©lèbre du fameux pharmacien CouĂ©.
Peu importe. Les prioritĂ©s du gouvernement sont fixĂ©es: le budget 2021 prĂ©voit une hausse de 2 % des crĂ©dits « Immigration, asile et intĂ©gration » et la crĂ©ation de 4000 places supplĂ©mentaires pour l’accueil des rĂ©fugiĂ©s tandis que l’Aide mĂ©dicale d’État (AME) accordĂ©e Ă tous les migrants y compris clandestins augmentera de 97 millions pour friser le milliard d’Euros.
Plan de relance? Oui. Plan de relance des pompes aspirantes de la déferlante migratoire.
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