90.000 euros. C’est le prix du gestionnaire de crise que vient de s’offrir le CHU de Reims sur des fonds publics, afin de contrôler son image dans l’« affaire » Vincent Lambert.
En clair, l’hôpital se sert de l’argent des Français pour contrôler les informations que recevront ces mêmes Français sur un cas éthique aussi délicat qu’exemplaire.
Par trois fois, l’hôpital a tenté de mettre en place un « processus de fin de vie »pour Vincent Lambert, systématiquement contré par les parents de ce dernier qui refusent la mise à mort de leur fils.
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