Responsables d’une association de prévention de la radicalisation, ils sont soupçonnés d’avoir utilisé des fonds publics pour envoyer de l’argent à leurs enfants partis en Syrie.
Le gouvernement les avait mises en place dans l’urgence. Après les sanglantes attaques terroristes parisiennes de 2015 et 2016, des associations de lutte contre la déradicalisation avaient fleuri un peu partout. Aujourd’hui, le constat est à l’échec.
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