Un plan d’actions pour lutter contre la radicalisation, cité en exemple par Emmanuel Macron, a été discrètement lancé début 2017. Mais la situation continue de se dégrader.
Trappes, le «Molenbeek français», serait-il devenu un laboratoire de la lutte contre l’islam radical, comme semble l’indiquer le chef de l’État? Le 5 septembre, dans son discours aux préfets, Emmanuel Macron évoquait «ce travail (de lutte contre la radicalisation) (…) fait pour certains quartiers, je pense à Trappes pour les Yvelines. Le plan qui m’a été communiqué propose une stratégie d’action qui mobilise tous les services de l’État, les collectivités et qui met en lumière des ramifications avec certains pays étrangers». Le 18 octobre, dans son discours aux forces de sécurité intérieure, il parlait d’actions menées «à (sa) demande, en particulier à Trappes, pour mieux prévenir et mieux lutter contre les comportements et les agissements qui favorisent l’extension de la radicalisation».
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