Certains admirateurs de Marine Le Pen n’apprécient guère mes critiques de leur icône alors que je croyais que la parole est libre et que la censure est un sacrilège.
Ils prétendent que je n’ai pas le droit de critiquer ses propos favorables à l’islam et aux musulmans, ni sa visite au Temple de la Haine d’al-Azhar, ni le palestinisme dogmatique de Philippot pour ne pas les froisser, alors qu’ils sont bien ravis quand je fais passer l’islam, Juppé, Sarkozy et Hollande dans la moulinette de ma critique. (…)
Mon problème avec leur égérie et tous les autres, est justement leur manie à prôner la compatibilité de l’islam avec la République, et de se faire les avocats de l’islam soi-disant défiguré par le fondamentaliste islamiste, comme si l’islam n’était pas lui-même islamiste et fondamentalement radical et totalitaire.
Lire la suite par Salem Ben Ammar pour Dreuz.info
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