Les militants « no border » sont en réalité au cœur d’un juteux système de subventions. Le soutien actif à l’immigration clandestine n’est pas un phénomène spontané. Il est encadré par des dizaines d’organisations politiques qui bénéficient, une fois cumulées, de plus de 200 millions d’euros de subventions annuelles de la part du gouvernement français. C’est plus que le budget de la centrale du renseignement intérieur français, la DGSI (source).
(31/10/2016) Le soutien actif à l’immigration clandestine n’est pas un phénomène spontané. Il est encadré par des dizaines d’organisations politiques qui bénéficient, une fois cumulées, de plus de 200 millions d’euros de subventions annuelles de la part du gouvernement français. C’est plus que le budget de la centrale du renseignement intérieur français, la DGSI (source). C’est le dernier dossier des Contribuables Associés qui le détaille (voir ici) : Aujourd’hui, grâce au travail minutieux effectué par Jean-Baptiste Leon et son équipe dans le n°8 des Enquêtes du contribuable («Associations : comment elles vivent de l’argent public», décembre 2014-janvier 2015), numéro auquel on se reportera pour toute précision, nous y voyons un peu plus clair. Et l’article de poursuivre : Les associations qui apportent leur soutien aux migrants irréguliers (Réseau éducation sans frontières (RESF), SOS Racisme, le GISTI, La Cimade, l’Anafé, le MRAP, La Ligue des Droits de l’Homme, la permanence d’accueil et d’orientation des mineurs isolés étrangers gérée par France terre d’asile…) et qui bénéficient du soutien moral et financier de l’extrême-gauche, des écologistes et d’une partie de la gauche, recevraient environ 200 millions d’euros d’aides publiques par an, venant de l’État, des collectivités territoriales et parfois de l’Union européenne. Et encore : Ces fonds représentent la plus grande partie de leurs ressources, auxquelles s’ajoutent les gains des procès que certaines associations ne cessent d’intenter à ceux qui ne pensent pas comme elles, car l’hémorragie des militants pèse sur leur comptes et les financements privés sont rares. En d’autres termes, le soutien actif aux filières d’immigration clandestine est un système très rémunérateur pour ceux qui l’organisent et qui sont par ailleurs étroitement liés à des organisations d’agitation et de propagande antiracistes visant à museler toute opposition. On relèvera qu’elles sont politiquement liées aux partis de gauche et d’extrême-gauche, Parti Socialiste Français en tête. Dès lors les déclarations de la du ministre du Logement écolo-gauchiste Emmanuelle Cosse prend tout son sens.
Jamais les électeurs et contribuables n’ont été consultés sur la légitimité de transferts de fonds s’élevant à des centaines de millions d’euros par an non plus que sur leur utilisation effective. En seulement cinq ans, ces structures groupusculaires touchent ainsi plus d’un milliard d’euros à elles seules. Rappelons que dans le même temps, la DGSI en charge de lutter contre l’islam radical et son infiltration sur le territoire hexagonal, dispose d’un budget annuel identique de 200 millions d’euros (source). Lorsque l’on sait que l’Etat Islamique recourt à ces filières pour projeter des commandos djihadistes en France, la question de la complicité se pose.
Source : http://breizatao.com/2016/10/3 1/les-associations-aidant-les- migrants-clandestins-touchent- 200-millions-de-subventions- par-an-autant-que-la-dgsi/
Source : breizatao.com
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