Communiqué de l’AGRIF. Ainsi vient d’être prononcé un stupéfiant jugement du tribunal de paris relaxant les femen de la plainte déposée par le recteur de Notre Dame et condamnant simultanément les trois gardiens de l’édifice.
On peut certes penser quant au premier jugement que l’imputabilité du délit n’a pas pu être effectuée précisément. Mais le scandale c’est que concomitamment la plainte sans vergogne des Femen contre les gardiens a été prise en considération et valu le second jugement condamnant ces derniers.
Car ces gardiens, réagissant à une intrusion violente et profanatrice, n’ont fait que remplir leur mission qui est d’assurer la sécurité de la cathédrale et d’en préserver le caractère sacré.
Ils n’ont fait que leur devoir en s’efforçant de repousser une horde de neuf furies hystériques entraînées au combat de rue et à la violence.
Avec ce jugement on mesure que si certains rappellent sans cesse que non seulement le blasphème et le sacrilège ne sont pas des délits, en fait ils deviennent au contraire de plus en plus une pratique à protéger !
Ceci n’a plus rien à voir avec une laïcité de respect. C’est un laïcisme de haine antichrétienne, un racisme institutionnellement encouragé. On le vérifie avec cette inversion radicale de l’agresseur et de l’agressé.
L’Agrif n’accepte pas cet état de fait et rappelle que les femen ont été par ailleurs, sur sa plainte dûment motivée, mises en examen pour injures envers les chrétiens.
Bernard Antony,
Président de l’AGRIF
PS : L’AGRIF est par ailleurs associée à cette pétition pour exiger la fin de l’impunité des Femen, à signer ICI !
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