Pourquoi combattons-nous si faiblement le terrorisme, en dépit de l’état d’urgence ?
Si les morts ne sont pas directement voulus, pour eux-mêmes, ils sont les dommages collatéraux, les signes sans importance à l’intérieur d’un système où l’essentiel est déjà prévisible, et théoriquement sous contrôle.
Le profil type du « terroriste » n’échappe pas plus à la criminologie et à la psychiatrie que celui du violeur multirécidiviste, même potentiel.
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