D’autres pays pourraient suivre l’exemple du Royaume-Uni :
« Et si finalement le Brexit n’était que la première secousse d’un séisme politique qui pourrait ébranler pendant encore longtemps l’Union européenne ? (…) Ce scrutin est aussi le symptôme d’un mal plus profond qu’a parfaitement résumé l’ancien ministre des Affaires Etrangères Hubert Védrine sur Europe 1 : « Le vrai problème en Europe, c’est le décrochage des peuples par rapport à la construction européenne. » Car le cas britannique n’est pas isolé.
Les Pays-Bas. Après le « Brexit », aura-t-on droit au « Nexit » (…) ? C’est en tout cas ce que promet Geert Wilders, le sulfureux leader du Parti pour la liberté, classé à l’extrême droite, s’il venait à devenir Premier ministre. Et il n’en est pas si loin, puisqu’il caracole en tête de toutes les enquêtes d’opinion. Après l’annonce de la victoire du « oui » au référendum britannique, il a donc pris la parole renforcé dans ses convictions et demandé la tenue d’un référendum sur le maintien des Pays-Bas dans l’UE : « Si je deviens Premier ministre, il y aura un référendum aux Pays-Bas. Nous voulons être en charge de notre propre pays, notre propre monnaie, nos propres frontières, et avec notre propre politique d’immigration » (…)
Le Danemark. C’est l’autre place forte de l’euroscepticisme dans le nord de l’Europe…
Suite et source : le salon beige
0 commentaires