Une cinquantaine de personnes se sont rendues ce samedi, à l’appel du Parti de la France, au cimetière Montparnasse là où repose, aux côtés de son épouse, notre chère Marie-France, Jean-Pierre Stirbois.
Voulu par notre président, Carl Lang, qui lui succéda au Secrétariat général du Front National en novembre 1988, cet hommage du Parti de la France à Jean-Pierre Stirbois à l’occasion du trentième anniversaire de sa mort, était le rendez vous de la fidélité et de la constance politique et militante.
Outre une délégation du Bureau politique du PdF – Myriam et Christian Baeckeroot, Thomas Joly, le Secrétaire général, Jean Verdon, Jean-François Touzé – étaient présents de nombreux amis parmi lesquels on pouvait reconnaître Pascal Delmas, ancien Conseiller régional et directeur de cabinet de Jean-Pierre Stirbois, Françoise Monestier, journaliste militante et ancienne assistante parlementaire de JPS, Alexandre Simonot, Secrétaire général adjoint des Comités Jeanne, ans parler de Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale qui fut lui aussi proche de l’ancien Secrétaire général.
Dans une brève, émouvante et ferme allocution, Carl Lang rappela tout ce que le mouvement national devait à Jean-Pierre Stirbois, à son énergie, à sa rigueur politique et à son engagement militant, lui qui organisa un appareil fort tout en étant celui qui, bien avant que ce concept ne devint à la mode, sut réaliser l’union des droites à la base comme ce fut le cas à Dreux, étape décisive de l’émergence de la Droite nationale et populaire.
Recueillement et souvenir étaient au rendez-vous, mais aussi détermination et volonté militantes exprimées par Carl Lang : « Jean-Pierre, nous sommes là. Nous n’avons rien renié, nous n’avons pas varié. Nous continuons le combat ».
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