Décidément, ce sont deux optiques différentes qui s’opposent entre le gouvernement et la Mairie de Paris. Le premier a annoncé qu’il voulait réduire la fiscalité des bailleurs qui mettent leur bien en location à un prix raisonnable et même, peut-être, donner des aides pour les petits travaux.
Le gouvernement veut ainsi mobiliser les quelques 100 000 appartements et maisons vides qui se trouvent en zones tendues.
La Mairie de Paris, elle, veut utiliser la coercition. Le groupe communiste, au Conseil de Paris, veut augmenter les taux de fiscalité des résidences secondaires et des logements vacants. En somme : soit le propriétaire met son bien en location, soit il va payer cher.
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