La mascarade de la COP 21 : C’est déjà un échec !

2 Nov 2015 | Revue-de-Presse | 0 commentaires

A la fin de ce mois doit donc s’ouvrir à Paris la Cop21 dont le Pouvoir nous rebat les oreilles depuis déjà fort longtemps, le présentant
comme décisif pour l’avenir de la planète. Les media diffusent l’idéologie du « réchauffissement » ce nouvel évangile, soucieux de ne
pas se départir de l’écologiquement correct, sans craindre pourtant les paradoxes : pour Cop21, Europe 1 délocalise cette semaine sa
rédaction en Chine sans se soucier du « coût » en CO2 et en pollution d’un tel déplacement… pour sauver la planète !
On annonce la présence de 80 chefs d’Etat et de gouvernement, dont le président des Etats-Unis et le premier ministre chinois ; tout ce beau monde se voudra d’être sur la photo autour de François Hollande, lequel escompte bien en tirer un profit politique à quelques encablures des régionales. Il entend se saisir de l’occasion pour « verdir » le gouvernement en y faisant entrer un ou deux écolos, qui accepteront, pour « aider » Hollande à honorer les engagements de la France promis à la Conférence. Au fait, de quoi s’agit-il ? La Cop est l’abréviation de Conférence des parties. C’est une émanation de l’ONU. Les participants, appelés « parties », sont les Etats signataires de la Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), adoptée en 1992, à la fin du sommet de la Terre de Rio. Cette convention a affirmé l’existence « d’un changement climatique d’origine humaine et donne aux pays industrialisés le primat de la responsabilité pour lutter contre ce phénomène.» C’est là le dogme de base ; les scientifiques qui le mettent en cause n’ont pas leur place dans ses conférences ; seuls ceux qui sont d’accord avec le GIEC (voir ci-après), vigile de l’orthodoxie écolo, ont droit de cité. Mais, si la Cop21 de Paris est spéciale, c’est parce qu’elle a pour objectif d’aboutir à un accord « universel et contraignant», qui prendrait effet dès 2020, en vue de créer une « véritable » transition vers une économie et une politique mondiales « éco-responsables ». Le but, ce serait la « transition énergétique », c’est-à-dire le remplacement total des énergies fossiles (gaz,pétrole, charbon) par des énergies dites « propres ». L’objectif annoncé depuis des années est d’arriver à limiter le « réchauffement » climatique à 2°. Avant même de commencer, on sait que ce ne sera pas le cas. C’est déjà un échec ! Le 30 octobre l’ONU a dressé le bilan des engagements nationaux de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Le « réchauffement » de la planète serait proche de 3°C, voire même davantage, loin en tout cas des 2°, 146 pays seulement ayant rendu leur copie sur les 195 annoncés. On rappellera que la précédente conférence, celle de Copenhague en 2009, caressait exactement le même objectif, limiter à 2° C le réchauffement climatique, et qu’elle s’est soldée par un échec. Preuve en est que l’on doit tout reprendre à zéro, au point où les Etats avaient laissé leurs chères études. Une des raisons de ce fiasco – outre les réticences des USA à l’époque – était l’attitude des pays émergents, avides de développement, ce que l’on peut comprendre. Si les pays développés au cours des « trente glorieuses » de l’après guerre ont pu connaître la prospérité, c’est parce que leurs industries fonctionnaient à plein régime sans se soucier de la pollution engendrée. Et voilà que les nations occidentales veulent maintenant imposer à celles qui commencent seulement à 
émerger des normes qu’elles n’ont pas eu elles-mêmes à observer ! La situation n’a guère changé en six ans. Les pays émergents ne voient toujours pas pourquoi ils devraient investir pour réduire l’intensité énergétique de leur croissance, alors que leurs émissions de CO2 par tête d’habitant demeurent très inférieures à celles des ressortissants des pays riches. Un Indien produit 9 fois moins de CO2 qu’un Américain. Ils réclament donc le droit de rattraper le niveau de vie de ces derniers et leur reprochent, également, d’être à l’origine de l’essentiel du stock de gaz à effet de serre. Ce qui est vrai au niveau international l’est aussi au niveau national : le ménage modeste qui habite dans un petit pavillon de banlieue ne voit pas pourquoi il devrait payer plus cher sa cuve de fuel pour cause de taxe carbone quand les plus aisés continuent à prendre l’avion comme d’autres le train pour faire les soldes à New York en profitant des variations à la baisse du dollar… Impossibles prévisions climatiques Ces scientifiques, ces politiques et leurs chantres médiatiques pèchent par ignorance de la façon dont s’opèrent les évolutions technologiques. Elles ne se font généralement pas dans la continuité mais dans la rupture. En admettant un instant que leur
diagnostic soit juste et que la planète se réchauffe, à cause de l’activité humaine, s’ensuit-il qu’en projetant les chiffres d’aujourd’hui sur demain, la température s’élèvera selon la même trajectoire ? La première réponse, c’est qu’on n’en sait rien ! C’est une information invérifiable. Ecoutons le professeur John Christy, directeur du centre des sciences de la Terre de l’université d’Alabama et expert de la Nasa. Dans une interview sur CBS News, il a déclaré à ce sujet que pour prévoir l’évolution d’un système complexe, il faut d’abord le comprendre et ce n’est pas le cas : «Notre ignorance est simplement énorme quand il s’agit du système climatique et notre compréhension n’est pas suffisamment forte et solide pour bâtir des politiques sur un climat, car on ne sait pas comment il va évoluer… Si vous ne savez pas comment un système fonctionne, il est difficile de l’orienter pour atteindre un objectif. » La seconde réponse, c’est que nos « experts » autoproclamés ne tiennent pas compte des ruptures technologiques qui bouleversent la donne et rendent caduques toutes les prévisions. C’est ainsi que des écolos avant la lettre, autour de 1880, faisaient la sombre prédiction qu’un siècle plus tard, Paris serait submergée sous le crottin de cheval ! C’était inévitable, mathématique, scientifique ! En effet, l’essor des industries entraînant la migration de provinciaux vers la capitale, il fallait nourrir la population grandissante. Or les livraisons se faisaient en charrettes, tirées par des
chevaux. Dès lors expliquait l’ancêtre idéologique de Nicolas Hulot, un dénommé Prosper Lécaulot, compte tenu du nombre de chevaux recensés et du taux de progression constaté depuis 50 ans, une simple multiplication permettait à l’évidence de conclure que si « rien n’était fait », Paris disparaîtrait sous le crottin. La presse le soutint et nombreux furent ceux qui frémirent à cette perspective au point que le gouvernement – ne riez pas ! – créa une « taxe crottin » – rien de nouveau là aussi ! – et décida d’une « limitation du nombre et des conditions de circulation des voitures à cheval.» Personne ne soupçonnait encore que l’essor de l’automobile allait quelques décennies plus tard rendre obsolètes ces prévisions arithmétiquement fondées. Paris n’est pas couverte de crottin, les dernières livraisons « en voiture à cheval » disparurent complètement à la fin des années 50 quand les derniers adeptes de ce mode de livraison, les Vins du Postillon, y renoncèrent. Il y eut un semblable propos alarmiste dans l’entre-deux guerres et jusqu’au début des années 50 quand on s’inquiéta de l’épuisement des mines de charbon dont l’absence ou la raréfaction pouvaient enrayer l’activité industrielle et par conséquent affaiblir l’économie comme le niveau de vie des Français. Or, la domestication de l’énergie nucléaire allait bientôt rendre vaines ces craintes. Aujourd’hui, si Cop21 évoque l’échéance de 2050, elle travaille aussi pour ce début du troisième millénaire où si l’«on ne fait rien » le monde courra à la catastrophe. Mais cette projection sur l’avenir est hasardeuse car nul ne peut savoir quelle mutation
technologique, ou quelle découverte encore insoupçonnée, modifiera complètement la donne. Nos arrière arrière petits-enfants souriront peut–être de ce grand barnum du GIEC comme nous sourions aujourd’hui de Prosper Lécaulot et de son crottin funeste… Les imposteurs du GIEC Le GIEC est une émanation des Nations Unies qui s’appelle en anglais IPPC (intergovernmental panel on climate change), ce qui, curieusement, a été traduit en français par GIEC (groupe intergouvernemental des experts du climat) Cette traduction est une supercherie ! Car l’ajout du mot « expert » donne à penser qu’il s’agit d’une organisation scientifique, alors qu’il s’agit simplement d’un organisme intergouvernemental chargé de représenter les positions politiques des 195 gouvernements qui la composent. Dans son livre « Ecologie, la fin », Christian Gérondeau, a donné des détails sur la composition du bureau du GIEC – jamais repris pas nos
gazettes ! – où l’on découvre avec surprise que ce bureau ne contient aucun expert du climat. Désignés par le ministre de l’écologie de leur pays, les membres du GIEC sont en majorité des croyants scientistes et non des scientifiques et lorsque ce sont des scientifiques, leur spécialité n’est pas nécessairement la… « climatologie ». Comme la plupart des hommes politiques qui composent les gouvernements n’ont aucune culture scientifique, beaucoup de membres du GIEC sont nommés sur la recommandation des ONG écologistes comme Greenpeace, WWF, ou les Amis de la Terre. Il y a certes des dissidents dans le GIEC, qui sont de véritables experts en climatologie, mais leurs rapports techniques ne sont pas diffusés, car c’est le bureau du GIEC qui publie le document destiné au public : le résumé à l’intention des décideurs.   On n’entend que Jean Jouzel, patron du GIEC, en France et ses disciples sur les ondes et à la télévision ; ils ont le monopole des interventions dans les colloques. C’est qu’ils ont leurs entrées partout, étant subventionnés par les plus grosses entreprises françaises. Selon Philippe Verdier, auteur de « Climat investigation » (et licencié de France 2 à cause de la publication de ce livre) Jean Jouzel est lié et directement rétribué pour des conférences par les principales sociétés du CAC 40 parmi les plus polluantes (Air France, EDF, Engie, Michelin, BNP, Bouygues, Eiffage etc.) On notera la présence de Bouygues qui est aussi propriétaire de TF1 où le GIEC a évidemment ses entrées. L’ancien vice-président du GIEC, Jean-Pascal Van Yperseel, a pour sa part été rétribué par Bouygues pour une apparition avec Nicolas Hulot sur TF1, vantant les solutions écologiques de son patron dans la construction. Jouzel fait aussi partie des comités scientifiques des plus grosses entreprises cotées à la Bourse de Paris (Crédit agricole, BNP, LVMH.) Ces entreprises se « verdissent » ainsi et essaient d’améliorer leur image auprès des consommateurs mais, et surtout, sont l’objet de la bienveillance des écologistes officiels qui ne leur font pas de misères. Ces conflits d’intérêts ont ému jusqu’au sein du GIEC où un économiste coréen, le docteur Lee, a été intégré à la direction. N’a-t-il pas recommandé « d’améliorer la neutralité et la pertinence du travail du GIEC dans ses rapports avec le monde des affaires, de l’industrie et de la finance ? » Le catastrophisme climatique peut se révéler être une excellente affaire, non seulement pour le GIEC, mais aussipour les compagnies d’assurance. C’est un marché qui s’ouvre pour elles. Dans Le Monde du 30 octobre, on trouve un étonnant article sous le titre « Le changement climatique, un levier d’activité pour les assureurs », on peut y lire : « La majorité du monde n’est pas assurée contre les catastrophes naturelles », explique Andreas Schraft, directeur chez l’assureur helvétique Swiss ; en conséquence, « Le changement climatique peut rapporter de nouveaux clients. » Selon le quotidien, la stratégie cynique est celle-ci : « L’idée est d’accepter de couvrir les meilleurs risques, c’est-à-dire ceux qui ont le moins de chance de se produire ou ceux qui coûteront le moins cher et d’éviter les pires, sachant que les premiers paient pour les seconds. » Autrement dit, grâce à la Cop21 et aux agitateurs du GIEC, on va faire peur aux populations comme aux entreprises puis, dans
 la foulée, les assureurs vont faire leur siège pour qu’au nom du principe de précaution, elles s’assurent contre des risques 
chimériques ou qui n’interviendront éventuellement que dans quelques décennies. On s’adressera de préférence aux clients situés dans des zones de la planète ou des régions où il ne se passera probablement rien mais on les fera payer le prix fort ! Et si on ne faisait rien ? Et si on ne faisait rien de ce que propose la Cop21 ? Que se passerait-il ? Rien ou presque ! Le GIEC mise sur une hausse des températures en 2100 de + 1° à + 2° si la Cop21 et les conférences qui suivront réussissent. Mais les « experts » ne rendent pas compte du fait, incontestable, que, malgré la croissance de la présence du dioxyde de carbone, on n’a pas observé d’augmentation proportionnelle de la température de la Terre, qui n’a pas varié depuis 18 ans. Ce que reconnaît implicitement Dominique Bourg, un gourou des écolos vice-président de la Fondation Nicolas Hulot qui, en répliquant au climato-sceptique Claude Allègre, affirme : « Le réchauffement de la planète s’est bien accéléré entre 1975 et 2003, et la cause en est l’augmentation de la concentration du CO2 dans l’atmosphère. » Depuis 2003, il n’y a donc aucun réchauffement de la planète et il ne nous dit pas pourquoi alors que, selon lui, la concentration de CO2 n’a pas cessé d’augmenter. Cet homme de science et de réflexion qu’est Claude Allègre, ancien ministre de l’Education de Mitterrand, fait partie de ces « connards » dénoncés par Nathalie Kosciusko-Morizet car, pour elle, tous ceux qui contestent le réchauffement planétaire font partie de leur confrérie ! Toutefois, à supposer que le grand coupable soit le gaz carbonique – ce que nous expirons aussi ! –, culpabilité qui n’est toujours pas démontrée et que la très onéreuse politique de réduction des gaz à effet de serre soit effectivement mise en oeuvre, la température de la Terre le 30 septembre 2049 serait la même que celle du 1er janvier 2050 si l’on n’avait rien fait ! Bref après toutes ces mesures pour abaisser la température de la Terre, on ne gagnera que trois mois sur son évolution naturelle à la hausse. Tout ça pour ça ! Les avantages du réchauffement climatique Tout au long de son histoire, la Terre a connu des périodes de réchauffement et de refroidissement : quatre glaciations depuis 100.000 ans et donc quatre réchauffements alors que les dernières datations lui donnent 4,5 milliards d’années… Le climat de la Terre change constamment de manière naturelle. Les variations millénaires de la distance de la Terre au Soleil expliquent vraisemblablement les changements du climat sur le long terme. Des zones qui étaient stériles sont devenues cultivables d’autres qui l’étaient sont devenues stériles, tel le Sahara qui, il y a huit millions d’années, était parsemé de lacs aujourd’hui asséchés, sans que l’homme y fût pour quoi que ce soit. Sur France Inter, le géophysicien Vincent Courtillot a rappelé : « Au Moyen-âge, au Groenland – Terre verte en français – il y avait les Vikings, il y avait de l’herbe, il y avait des vaches, il y avait des maisons ; elles sont aujourd’hui sous la glace. Qu’on ne nous raconte pas qu’il fait aujourd’hui plus chaud qu’à l’époque. » Pourquoi en irait-il autrement si le réchauffement climatique était avéré ? L’homme s’est toujours adapté à ces changements dans son mode de vie, ses cultures, son alimentation. Demain, ou après-demain, on cultivera peut-être des oranges à Tourcoing. Et alors ? Il y aurait des avantages pour les uns, des inconvénients pour les autres mais le catastrophisme écologique ne veut parler que de ces derniers. Si la température s’élève dans les proportions prophétisées, que se passerait-il aussi ? – La fonte de la banquise, en particulier en hiver, libérerait des glaces plus longtemps (voire totalement) certains ports de la mer Baltique et de l’océan Arctique. En outre, la disparition de la banquise ouvrirait le passage du nord-ouest à la navigation. Par exemple, ce passage raccourcirait la navigation entre Londres et Tokyo. Le trajet passerait de 23.300 km (via le canal de Panama) ou 21.000 km (via celui de Suez) à 15.700 km. Cela réduirait la durée et le coût du transport maritime, donc celui des produits et denrées pour le consommateur. – La fonte de la calotte polaire ouvrirait aussi l’accès aux richesses minières et énergétiques des fonds de l’océan Arctique. De nouveaux gisements de métaux précieux, de gaz et de pétrole pourraient alors être exploités. Mais les écolos qui ne jurent que par les éoliennes (un marché en or) ne seraient pas ravis que l’on trouve de nouveaux gisements de pétrole quoique, dans certaines parties du monde, les dépenses énergétiques liées au chauffage baisseraient 
– Le dégel du permafrost (un sol dont la température se maintient en dessous de 0°C pendant plus de deux ans consécutifs) ouvrirait de nouvelles surfaces à l’agriculture tandis que les conditions thermiques permettraient à différentes plantes de pousser à de plus hautes latitudes. Toutes ces modifications devraient donc accroître la productivité agricole des terres aux alentours des pôles. Il convient d’évoquer ici la menace que ferait courir la fonte de la calotte glaciaire qui élèverait le niveau des mers, engloutissant si ce n’est des continents du moins une partie d’entre eux. Qu’en est-il en réalité ? Jacques de Guérin, ingénieur issu de l’Ecole des mines, élève de deux prix Nobel d’Economie (Maurice Allais et Robert Solow) a rappelé : « La fusion de la banquise n’entraînerait aucune augmentation du niveau des océans, car si le haut de la banquise dépasse le niveau de la mer, c’est parce que la glace a une densité un peu inférieure à l’eau liquide. Faire fondre la glace n’entraîne donc aucun accroissement du niveau de l’eau. Pour les sceptiques qui n’auraient pas retenu les leçons de leur cours de physique dans le secondaire, nous leur suggérons de prendre un verre gradué, d’y mettre de l’eau, des glaçons, et de noter le niveau de l’eau. Ils s’apercevront que ce niveau ne change pas lorsque les glaçons ont fondu. » Qu’en est-il alors de ces « réfugiés climatiques » dont la télévision nous montre les images, devant quitter leurs maisons face à une mer qui progresse ? C’est un phénomène qui a existé tout au long de l’histoire de la Terre dû à « l’’épuisement du stock sédimentaire côtier », disent les géologues. « Pendant la dernière grande glaciation, entre 80.000 et 10.000 ans avant aujourd’hui, le niveau de la mer se situait à environ 120 mètres au-dessous de son niveau actuel », explique le géographe Roland Paskoff. S’ajoutent le mouvement des plaques tectoniques, les séismes sous-marins qui sont permanents, l’attraction lunaire, les houles et les mers, des vents de tempêtes associées à des pleines mers qui attaquent les hauts de plage, et peuvent emporter le cordon littoral et submerger l’arrière-plage. – Le réchauffement devrait entraîner une réduction des pathologies liées aux climats froids (engelures, rhumes, etc.). Par conséquent, le coût du traitement de ces pathologies devrait baisser avec la réduction de la quantité de médicaments utilisés, des hospitalisations, de la mortalité, etc. C’est ainsi que l’humanité a évolué face aux caprices de la planète, en s’y adaptant, en essayant de remédier aux inconvénients et en profitant des avantages. Rappelons ce mot d’un philosophe : « L’humanité ne se pose que les problèmes qu’elle peut résoudre. » G.B. PS : On pourra également se documenter avec le dernier livre de Rémy Prud’homme, « l’idéologie du réchauffement » aux Edition l’Artilleur (16 rue Vezelay 75008 Paris). Ce professeur émérite à l’université de Paris XII traite du mythe « changement climatique » et du « réchauffisme ». Ce courant d’idées et les institutions qui le portent s’inscrivent dans une longue tradition de prédictions apocalyptiques…
source :le bulletin d’André Noel bulletin_andre_noel_2444_special_cop21.pdf bulletin andre noel 2444 spécial Cop21.pdf

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