On a désormais confirmation que la RATP a reculé face à la pression politique et médiatique mais qu’elle continue de maintenir sa position, notamment sur son refus de prendre parti dans un conflit.
La CHREDO avait accepté d’ouvrir des négociations pour mettre un terme à la procédure judiciaire, qu’elle avait maintenue, pour une conciliation qui lèverait toute ambiguïté sur la position de la RATP.
Le président de la CHREDO, Patrick Karam, demandait que la RATP et METROBUS reconnaissent que les Chrétiens d’Orient ne sont pas partie prenante au conflit et que leur situation est en tous points celle de victimes, étant la cible de groupes terroristes qui commettent délibérément à leur encontre des crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
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