Un Français qui se fait une certaine idée de la France où la fierté n’est pas absente ne lit pas l’ouvrage de Christian Chesnot et Georges Malbrunot, « Nos très chers Emirs » sans en être profondément troublé.
Certes, les politiques cités, par exemple Jean-Marie Le Guen ou Rachida Dati, parmi les personnes ayant sollicité la générosité du Golfe ont, pour la plupart, promis des poursuites judiciaires contre des diffamations. La gravité des accusations, l’attitude placide des auteurs devant les menaces, la précision de leurs informations auraient dû susciter un débat public afin que dans les plus brefs délais les Français puissent se faire une opinion sur la valeur des allégations des deux journalistes. La justice tranchera. Mais quand ?
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