Le Pays de Galles, le pays où est né saint Patrick, évangélisateur de l’Irlande, s’apprête à évincer les cours d’éducation religieuse !
Le ministre gallois de l’Education nationale, Hugh Lewis, a déclaré devant un parlement gallois qui n’a pas moufté :
« J’ai l’intention de rebaptiser (sic) l’éducation religieuse et que nous la transformions en un cours de religions, de philosophie et de problèmes éthiques (resic) dans lequel il y aurait un engagement explicite à laisser les enfants travailler sur les questions éthiques et la citoyenneté, pour leur permettre de réfléchir sur ce que signifie “être citoyen” dans un pays libre. » En juin dernier, déjà, un ancien inspecteur de l’Education nationale, Graham Donaldson, recommanda que les écoles galloises fassent de leurs élèves « des citoyens du monde informés et éthiques ».  Leur éthique confine au TOC… Cette initiative impensable a provoqué de nombreuses réactions, dont celle de Chris McGovern, président de Campaign for a Real Education : « C’est une grave erreur. La chrétienté a sa place dans chaque école.  Vous ne pouvez appréhender aucun aspect de la civilisation occidentale – que ce soit l’art, la culture, la musique, les institutions religieuses ou politiques – sans comprendre la chrétienté. (…)  C’est fondamental, cela définit notre société et c’est notre religion nationale. Si vous supprimez la chrétienté, vous supprimez la mémoire nationale et la société tombe malade. » Cette trahison du Pays de Galles, la honte des nations celtiques désormais, est alignée sur une décision du même ordre de la Grande-Bretagne, qui veut supprimer le christianisme dans les écoles « pour promouvoir la tolérance de toutes les idées et l’acceptation du point de vue de quiconque qui ne serait pas d’accord ». L’Association des humanistes britanniques – à savoir des francs-macs virulents – est derrière cette manœuvre : « La philosophie et l’éthique (décidément…) ont longtemps été négligées dans les écoles et il est très encourageant que le gouvernement gallois ait également cet avis.  Nous n’avons que peu de détails et nous devons éviter de spéculer sur les conséquences pratiques de ces réformes.  Ce que nous ne voulons pas voir, naturellement, c’est une dissolution de l’enseignement que les enfants reçoivent sur les croyances – religieuses ou non – des autres. » « Recevoir » les croyances des autres, en l’occurrence, soyons clairs, celles des musulmans qui, eux, jamais et nulle part, ne font preuve de la moindre tolérance, c’est accepter de diluer, puis de faire disparaître, la foi des nôtres. Dans la chanson Les Lacs du Connemara (paroles de Pierre Delanoë), Michel Sardou exalte les Irlandais, soudés autour de la croix, qui « n’acceptent pas la paix des Gallois ni celle des rois d’Angleterre ».  La paix des Gallois, qui n’ont pas su ou pas voulu s’arracher au joug des rois d’Angleterre, c’est la paix des lâches et l’alignement servile sur ce que l’Angleterre (submergée par les londonistans) pratique de manière suicidaire.   http://www.delitdimages.org/le-pays-de-galles-la-honte-des-nations-celtiques/
via le pdf Bretagne