On assiste en ce moment à une très inquiétante poussée de l’idéologie radicale, qu’elle soit politique ou religieuse. Je le mesure chaque jour dans les maisons de quartier et auprès des missions locales.
Mohamed Merah était la principale figure d’identification jusqu’à cette année. Aujourd’hui, il « partage l’affiche » dans le coeur des jeunes radicaux avec cette nouvelle génération de terroristes apparue au Bataclan. Il y a eu un basculement très net au lendemain du 13 novembre 2015. Ces événements ont joué sur la psyché des individus, ils leur ont offert un regain d’assurance, une forme de légitimation de leur haine
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