Parfois, en lisant certaines nouvelles, on croit rêver. On sait que la France n’est plus gouvernée mais poussée au gré des pulsions de dirigeants inconséquents. On sait qu’elle s’enfonce résolument, volontairement, dans une parodie de démocratie.
On sait que chaque jour qui passe donne de nouvelles armes à un autoritarisme, à une pensée unique qui ne dit pas son nom. Mais même alors, on arrive à être surpris de la vitesse à laquelle elle court à sa perte.
Bien sûr, on a bien compris que le fascisme, celui qui sent bon le cuir neuf de bottes militaires, ne s’installera pas en France. Tant de bonnes consciences veillent que c’en est impossible, voyons. Ou disons, pas tout de suite. Il faudra des étapes, progressives.
Mais parfois, les soubresauts de l’actualité donnent une impression d’accélération subite, dans la mauvaise direction.
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