Il fait vraiment dans tout ce Erdogan : fournisseur d’armes à l’État Islamique, fournisseur de réfugiés à l’Union Européenne, fournisseur d’explosions meurtrières à ses concitoyens, on commence à se demander ce qu’il ne vend pas ?
Les masques tombent : l’ambassadeur russe à l’ONU dévoile les preuves de l’appui militaire de la Turquie aux fous dangereux de Daesh et apporte moult précisions sur les modalités du trafic. En effet, Vitali Tchourkine a démontré au Conseil de sécurité de l’ONU que non seulement la Turquie fournit des armes, mais qu’elle est le fournisseur principal du matériel militaire dont se servent les combattants esclavagistes et coupeurs de têtes. Qui plus est, les livraisons sont assurées par les services du renseignement turc sous le couvert d’organisations non-gouvernementales prétendument humanitaires.
Ainsi, les services officiels du renseignement en Turquie coordonnent les achats et les livraisons d’armes aux terroristes. Le transport est effectué par camions camouflés en convois d’aide humanitaire, a expliqué l’ambassadeur russe à l’ONU. Sur une année d’observation des agissements turcs, les terroristes présents sur le territoire syrien ont reçu, si on ne compte que les explosifs, pour 1,9 millions de dollars de produits à usage militaire, selon Vitali Tchourkine.
Soit au menu détail : 2,5 milles tonnes de nitrate d’ammonium pour une valeur de 788 700 dollars, 456 tonnes de potassium de nitrate pour 468 700 dollars, 75 tonnes de poudre d’aluminium pour 496 500 dollars, 19 400 dollars de nitrate de sodium, 102 500 dollars de glycérine et 34 000 dollars d’acide nitrique, tout cela sous les bons hospices de la Turquie, fournisseur officiel de l’État Islamique avec la bénédiction du président Erdogan et de la chancelière Merkel devenue sa complice, qui ne dit mot consent.
Les munitions ne sont pas en reste, puisque la Turquie a livré en quantité «du calibre 7,62 mm, plus du calibre 12,7 mm, et des munitions pour lance-grenades RPG-7», a déclaré l’ambassadeur russe au Conseil de sécurité. Le 25 janvier 2016, le «Turc Found for Human Rights and Liberty» dont la traduction française serait selon une mauvaise langue «Fion Turc pour la Défense des Droïdes en Liberté», a financé l’envoi d’environ 55 tonnes de biens et de nourriture aux terroristes de Daesh, a ajouté Vitali Tchourkine, au fait de l’activisme turco-terroriste.
Tout cela est parfaitement connu, puisque, outre le trafic d’armes entre la Turquie et l’État Islamique, les services de renseignement russe avaient déjà filmé quelques 12 000 camions-citernes turcs en décembre 2015, camions transportant du pétrole à la frontière turco-irakienne afin d’approvisionner l’Etat islamique à des prix très avantageux.
Combien de temps encore le double-jeu criminel d’Erdogan pourra-t-il durer ? Il durera probablement encore le temps du double jeu occidental.
Source : http://24heuresactu.com/
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