La cour d’appel de Paris a confirmé ce jeudi la relaxe de huit militantes du groupuscule antichrétien Femen. Ces professionnelles de la profanation étaient jugées pour avoir dégradé une cloche lors d’une attaque qu’elles ont menée à Notre-Dame de Paris le 12 février 2013 en vociférant divers blasphèmes.
En République maçonnique, ce sont les agresseurs qui bénéficient de l’impunité. Et ce sont les agressés qui sont punis s’ils ont le tort de ne pas se laisser faire. Deux gardiens de la cathédrale ont eux été condamnés à des amendes avec sursis, et un troisième relaxé, pour avoir tenté de chasser les Femen de Notre-Dame de Paris.
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