Quelques jours après le meurtre odieux de deux policiers à Magnanville, les murs de Grenoble se sont couverts d’une grande fresque attisant la haine anti-flics.
Cette œuvre de street-art, intitulée « L’État matraquant la liberté » qui montre une Marianne frappée par deux policiers, a été réalisée par l’artiste Goin, dans le cadre du « Street Art Fest Grenoble » qui s’est tenu du 8 au 26 juin 2016. Le festival doté d’un budget de 200 000 euros a rassemblé 45 artistes.
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