L’Assemblée nationale débat d’une nouvelle loi sur la fin de vie.
Le mot euthanasie n’y figure pas, mais le danger d’ouvrir la voie à cette pratique n’est pas écarté : des amendements qui la réclament sont déposés et le texte de loi lui-même est ambigu.
Aujourd’hui, la loi pose nettement la médecine du côté de la vie : « Les professionnels de santé » doivent « assurer à chacun une vie digne jusqu’à la mort », stipule-t-elle. Ce repère, simple et humain, guide ceux qui prennent soin d’une personne quand tout semble perdu. Il disparaît dans la nouvelle loi : la fin de vie devient une période à part avec ses règles propres, d’où un nouveau « droit à une fin de vie digne et apaisée ». Lire la suite sur Ouest-France
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