Le 20 octobre 2017, Henda Ayari, ancienne salafiste devenue militante féministe et laïque, portait plainte pour viol contre l’islamologue suisse Tariq Ramadan. Elle l’accusait de « viol, agressions sexuelles, violences volontaires, harcèlement et intimidation ».
Une semaine après, une deuxième femme, qui a gardé l’anonymat, avait à son tour porté plainte pour les mêmes faits, d’une violence inouïe.
Plus de trois mois plus tard, le prédicateur musulman vient d’être placé en garde à vue ce 31 janvier par les enquêteurs de la police judiciaire parisienne. Cette convocation se fait dans le cadre de l’enquête préliminaire ouverte pour les chefs de viols et violences volontaires.
source: Marianne.net
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