Puisque la question des « migrants » ou des « réfugiés » est devenue le grand sujet d’actualité, alors il convient de se pencher dessus mais, disons-le tout net, il est hors de question de s’épuiser à donner plus d’une fois notre point de vue, c’est pourquoi nous allons être le plus exhaustif possible dans cette déclaration politique.
En effet, nous voyons arriver à des kilomètres la manœuvre politicienne, qui va consister à faire du sujet des « migrants » un sujet de débats, dans la durée, avec pour objectif de retourner l’opinion ou, au moins, de la « dé-radicaliser », car il y a actuellement neuf Français sur dix qui sont contre la transformation de leur pays en un grand centre de rétention, malgré les photos d’enfants morts que le pouvoir nous jette à la figure.
Nous ne tomberons pas, et nous appelons à ne pas tomber, dans le piège des faux-débats comme « Faut-il des quotas de migrants par pays de l’U.E. ? » ou « Les migrants doivent-ils être répartis sur l’ensemble du territoire ? », etc., car tous ces sujets de discussion ou de sondage font de la présence des « migrants » un préalable, une réalité indépassable.
Notre position, c’est que ces questions sont inutiles, car la seule politique acceptable est de renvoyer chez eux les étrangers qui comptent trouver chez nous l’eldorado.
Tout d’abord, parce que nous ne sommes pas une terre d’eldorado. La France tient debout parce que les ancêtres de ce qu’on appelle les « Français de souche », se sont battus et sont morts pour repousser ceux qui souhaitaient s’accaparer nos terres. La France tient debout parce que chaque matin, des millions de Français se lèvent pour faire tourner le pays, chacun à sa place, chacun selon ses capacités. La France tient debout parce que nous sommes des millions à respecter les lois et à nous acquitter de nos impôts.
Ensuite, l’énergie des gouvernants et de la nation doit être concentrée sur les problèmes actuels et énormes de la France, avant que les « élites » ne s’amusent à en créer de nouveaux de manière artificielle.
Nous avons, chez nous, le problème de la dette qui, réforme inutile après réforme inutile, ne cesse de s’alourdir et paralyse l’action publique à tous les niveaux, du Gouvernement jusqu’à la plus petite commune du pays.
Nous avons, chez nous, le problème de la fiscalité qui étrangle l’initiative économique et l’entreprenariat.
Nous avons, chez nous, le problème des fraudes sociales dont chacun connaît l’origine mais à laquelle tous les hommes politiques ont peur de s’attaquer.
Nous avons, chez nous, le problème de la sécurité que l’Etat fait sans cesse semblant de prendre à bras-le-corps alors que dans les faits, ce sont des milliers de postes de policiers, de gendarmes et de militaires qui sont supprimés, et que la liste des faits de délinquance devant lesquels les forces de l’ordre ont la consigne de ne rien faire ne cesse de s’allonger (burqas, quads, supporters algériens, cités interdites d’accès, etc.).
Nous avons, chez nous, un chômage structurel que personne ne cherche à combattre, les incapables au pouvoir se permettant même de se pavaner lorsque le nombre de demandeurs d’emploi se met à augmenter moins vite que les mois précédents.
Nous avons également, chez nous, ce problème ahurissant des travailleurs pauvres, c’est-à-dire des Français qui se lèvent chaque jour pour aller travailler, mais n’arrivent plus à assumer leurs dépenses vitales de loyer, d’essence et de nourriture.
Au-delà de ces problèmes qui minent la santé du pays et le moral des Français, notre nation est également en proie à des interrogations identitaires qui ne sont toujours pas réglées, malgré les fumeux débats de l’époque sarkozyste sur « l’identité nationale ». Dans ce cadre, provoquer volontairement la venue de dizaines de milliers de personnes venues d’ailleurs avec leurs propres coutumes, leurs propres visions du monde et leurs propres spiritualités particulières (souvent musulmane), est non seulement une faute politique lourde, mais va – et a déjà commencé à – aggraver la précaire situation sécuritaire et identitaire du pays.
Cette nouvelle problématique des migrants a été créée de toutes pièces par les autorités politiques françaises et européennes. Il est donc très simple de régler cette question qui ne fait pas partie des problématiques structurelles du pays. Ainsi, le Parti de la France demande à ce que soient appliquées sans délai les mesures d’urgence suivantes :
Le rétablissement du contrôle de nos frontières.
L’arrêt de toute immigration.
L’inversion des flux migratoires.
L’arrêt de l’aide financière, logistique et militaire aux groupes islamistes en Syrie et ailleurs.
La dissolution des associations qui, au mépris de la loi, soutiennent ouvertement les clandestins et sont même subventionnées par la république pour le faire.
L’anéantissement des filières de traite des êtres humains, dites filières des « passeurs ».
Si l’équipe politique qui gère le pays se sent incapable d’appliquer ces quelques mesures de simple bon sens, le Parti de la France se propose de la remplacer et se tient à la disposition du peuple français.
Bruno Hirout Délégué départemental du PDF pour le Calvados Conseiller national du Parti de la France Membre du Bureau du Parti de la France pdfcalvados14@gmail.com
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