Manuel Valls est interrogé sur RTL par un auditeur (qui n’est autre que Christophe Devillers, Délégué régional du PdF pour la Franche-Comté) sur les dissolutions prononcées à l’encontre de l’extrême droite, suite à l’affaire Méric.
Le Premier ministre fait preuve d’une grande mansuétude en bottant en touche au sujet de l’extrême gauche. Il s’interdit même d’en prononcer le nom.
Gouvernement Barnier : des mercenaires et des troisièmes couteaux sur un siège éjectable
Après des semaines pour sortir un Premier Ministre du chapeau, des jours pour que celui-ci propose un gouvernement, voilà...
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