Avant de « célébrer » tous ensemble l’arrivée du 10.000e clandestin, il est important de faire un petit retour en arrière.
Octobre 2013, les clandestins commencent à se faire remarquer dans la ville de Calais, notamment en ouvrant de très nombreux squats illégaux. Ils sont alors (seulement) 400. Environ six mois plus tard, en 2014, le nombre d’illégaux dans la ville a plus que doublé et les squats se font de plus en plus fréquents. Ils sont alors environ 1.200.
Profitant de l’inaction gouvernementale et des associations d’extrême-gauche, le nombre de clandestins doublera une nouvelle fois à peine 2 mois plus tard ! Squats, vols et agressions, le cauchemar Calaisien commence. Plus de 2.500 clandestins défilent librement et sans contrôle dans la cité des 6 Bourgeois, encore peuplée à l’époque de 75.000 Calaisiens. Sauf que, à force de laxisme et de laisser-aller de la part du gouvernement et de la municipalité, les clandestins se sont vus accorder tous les droits, faisant fuir plus de 5.000 Calaisiens et de très nombreux touristes anglais et flamands, ce qui conduira inévitablement à la fermeture de commerces locaux.
Bien évidemment, le fort taux de chômage y est aussi pour quelque chose mais n’est pas le motif déclencheur. Aujourd’hui, août 2016, nous « fêtons » l’arrivée du 10.000e clandestin dans la ville ! Ce qui représente tout de même presque 15 % de la population Calaisienne, soit 1 clandestin pour 7 Calaisiens. Une question se pose alors : quel avenir pour Calais et ses habitants ?
Seul le Parti de la France a la volonté d’expulser tous ces pseudo-réfugiés et de rétablir la sécurité des Calaisiens. Avant qu’il ne soit trop tard, donnons-nous les moyens de mettre en oeuvre la libération de la France !
Communiqué de
0 commentaires