En Autriche et en Allemagne, les viols et agressions sexuelles commis quotidiennement par les migrants sont évoqués par la presse régionale. Même les personnes âgées ou déficientes mentales ne sont pas épargnées par les agresseurs, certains d’entre eux n’hésitant pas à mettre en œuvre, afin d’arriver à leurs fins, les méthodes les plus sournoises.
Ainsi, le dimanche 3 septembre 2017, trois demandeurs d’asile ont violé une Autrichienne handicapée mentale de 52 ans au sein de l’Institut Hartheim à Alkoven en Haute-Autriche. La dirigeante de cet organisme a confirmé à l’organe de presse Oberösterreichische Nachrichten (OÖN) que la victime avait été trouvée « complètement détruite ». 75 demandeurs d’asile sont logés à côté de cette institution pour déficients mentaux et sont autorisés à utiliser la salle de sport de celle-ci.
Dans la nuit du 1er au 2 septembre à Haltern am See en Rhénanie-du-Nord-Westphalie (Allemagne), une dame de 40 ans a fait la connaissance d’un homme dans un restaurant. Elle l’a suivi ensuite dans un appartement situé à dix minutes à pied. Là, d’autres hommes l’ont harcelée puis violée collectivement. Les agresseurs et leur complice, le séducteur, sont de peau foncée.
Le vice-gouverneur de Haute-Autriche Manfred Haimbuchner, membre du parti patriotique FPÖ, a commenté le 5 septembre les statistiques de la criminalité dans cette partie de l’Autriche. 31,1 % des délits y sont commis par des étrangers. Les demandeurs d’asile sont, quant à eux, proportionnellement vingt fois plus représentés dans la délinquance sexuelle que les Autrichiens.
Le même jour à Halle-sur-Saale en Saxe-Anhalt (Allemagne), la police a indiqué que le nombre d’agressions sexuelles a fortement augmenté au cours des derniers jours, la plupart étant commises par des étrangers.
Le 6 septembre dans la nuit, à Potsdam au Brandebourg (Allemagne), un homme au physique étranger, aux cheveux noirs, âgé d’environ quarante ans et parlant l’allemand avec un accent étranger, a porté assistance à une Allemande de 66 ans qui souffre de problèmes de circulation sanguine et a eu un malaise. Il a accompagné la dame jusque chez elle et en a profité pour la violer, puis a pris la fuite.
Le 7 septembre à 6 heures du matin à Winsen en Basse-Saxe (Allemagne), une Allemande de 39 ans qui se rendait à son travail a été agressée physiquement par surprise, tirée derrière un buisson et violée par un Marocain de 27 ans. Celui-ci a été ensuite, grâce au signalement donné par la victime, arrêté par la police alors qu’il rentrait à son hébergement pour demandeurs d’asile.
Le même jour à Ingolstadt en Bavière, un Africain a agressé sexuellement une dame de 30 ans, lui a déchiré son T-shirt et a tenté de lui ouvrir le pantalon. La victime s’est défendue et a pu faire fuir l’assaillant.
Ce 8 septembre à Nienburg en Basse-Saxe, une livreuse de journaux a été agressée tôt le matin par un homme au teint foncé qui a tenté de la violer. La victime est arrivée à s’échapper.
Depuis l’ouverture des frontières aux migrants en 2015 par la chancelière Angela Merkel, la tranquillité de la société allemande et autrichienne a disparu et les femmes en sont les premières victimes, tout particulièrement celles qui doivent se déplacer la nuit ou tôt le matin dans le cadre de leur travail ou qui sont faibles physiquement ou mentalement.
Lionel Baland
Source : http://www.bvoltaire.fr
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