CONNEXION. La lettre argumentaire PDF, rédigée par Jean-François Touzé et Franck Timmermans.
L’attaque qui a fait plusieurs dizaines de morts à Christchurch en Nouvelle-Zélande est une tragédie de plus dans un monde marqué par le retour de l’expansionnisme islamique et sa soif de conquête de l’Occident qu’un millénaire et demi n’a pas apaisé. Comme toutes les tragédies, elle est l’aboutissement, en l’occurrence sans doute malheureusement provisoire, d’un faisceau d’éléments et d’une accumulation de causes. Le tueur de Christchurch est responsable et il est coupable. Il l’est pleinement, atrocement et misérablement. Mais cette culpabilité et cette responsabilité du carnage, il la partage avec ceux qui en ont permis l’accomplissement.
- Ceux qui ont livré l’Occident à la déferlante migratoire.
- Ceux qui ont ouvert les portes à la colonisation.
- Ceux qui ont laissé se développer un processus de remplacement.
- Ceux qui ont abandonné nos nations chrétiennes à l’islamisation.
Nul doute que l’exploitation qui commence à en être faite dans le monde musulman, en particulier par la Turquie d’Erdogan, relayée par l’ensemble des organisations immigrationnistes et par la bien-pensance bobo, servira l’accélération de l’ingression planétaire. Déjà sont désignés les « initiateurs », Le Pen, Salvini, Camus, Zemmour etc. car, comme chacun sait, quand un attentat est commis PAR des musulmans, quand une église est attaquée et que des chrétiens sont massacrés, cela n’a rien à voir avec l’Islam, mais lorsqu’un crime est perpétré CONTRE eux, cela a tout à voir avec la haine blanche et occidentale d’une extrême droite considérée au sens le plus large du terme. Nous devons pour autant être clairs : la réponse à la guerre civilisationnelle qui nous est faite par l’islamisme ne peut, en aucun cas, être le terrorisme aveugle et lâche que condamne notre vision de l’homme européen, que révulse notre morale du combat et que réfute notre raison, méthode de sauvages qu’il convient de laisser aux sauvages. La réponse n’est pas non plus dans les marches blanches, les bougies et les nounours. Elle est dans l’accession au pouvoir par une action politique déterminée, menée par des hommes neufs, et la mise en œuvre des moyens sécuritaires, militaires et moraux d’éradiquer la menace en en combattant aussi bien les effets que les causes. C’est ce combat que mène inlassablement, patiemment, avec foi et détermination malgré le silence médiatique, le Parti de la France. C’est bien aujourd’hui le seul combat qui vaille, conformément aux enseignements de l’Histoire, aux lois de la politique, aux intérêts vitaux de notre civilisation et aux impératifs de notre éthique française et européenne.
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