Manuel Valls est interrogé sur RTL par un auditeur (qui n’est autre que Christophe Devillers, Délégué régional du PdF pour la Franche-Comté) sur les dissolutions prononcées à l’encontre de l’extrême droite, suite à l’affaire Méric.
Le Premier ministre fait preuve d’une grande mansuétude en bottant en touche au sujet de l’extrême gauche. Il s’interdit même d’en prononcer le nom.
Accord UE-Mercosur : une question de volonté
L'actuelle agitation en France à propos de l'accord entre l'Union Européenne et le Mercosur est tout à fait symbolique de...
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