À la demande des associations et organismes antifrançais qui se sont constituées parties civiles, le procès de quatre jeunes hommes à Calais accusés d’avoir lancé des engins incendiaires contre des bâtiments occupés illégalement par des délinquants étrangers a été reporté au 13 octobre.
Les véritables conditions de l’action des jeunes Français ont été révélées. La presse a reconnu que les quatre jeunes résistants, âgés de 18 à 20 ans, ont agi pour protester contre les innombrables crimes et délits commis par les étrangers. L’une de ces agressions a visé peu de temps avant l’un des membres du groupe d’amis.
« Il s’est fait agresser par des migrants, on a porté plainte, et depuis, rien, aucune nouvelle. Les policiers nous ont bien fait comprendre qu’ils n’allaient pas pouvoir faire grand-chose… » a témoigné le père de l’un des jeunes persécutés.
C’est après une soirée chez l’un d’eux qu’ils auraient décidé d’agir contre le repaire de délinquants. Après les faits, ils ont été attaqués par plusieurs dizaines d’Afro-Maghrébins.
Aucune des quarante racailles présentes ni les agresseurs habituels de Français n’avaient été interpellés par la police. Les quatre Français ont été arrêtés, et trois d’entre eux, placés en détention provisoire, resteront incarcérés jusqu’au 13 octobre.
« On a évité le pire [sic], un peu plus et c’était les assises. Les faits sont graves [sic], les prévenus encourent une peine de dix ans d’emprisonnement. L’ordre public n’est pas un critère en matière correctionnelle, mais vous ne pouvez pas en faire fi. Des Calaisiens commencent à être excédés, certains collectifs ont été sous les feux de l’actualité, le climat est tendu. […] Il est impératif de les éloigner de Calais » a osé déclarer Julie Colaert pour le parquet, précisant que les jeunes étaient maintenus en détention pour… leur sécurité.
« C’est autant pour vous protéger d’une vengeance que pour vous empêcher de recommencer » a lâchement prétendu le président du tribunal. Ainsi, la République est contrainte de mettre en prison des Français agressés une première fois et qui ont tenté de se défendre, chez eux, contre des délinquants, violents, squattant illégalement des bâtiments avec la complicité active du gouvernement, pour assurer leur « sécurité » !
Cette sanction a été d’autant plus mal acceptée que même les parties civiles ne la réclamaient pas. Elle a provoqué la colère des Calaisiens présents en nombre au tribunal. Même la presse s’est étonnée de la violence de la répression, évoquant l’ombre sombre de Christiane Taubira : « On peut supposer que la prise de position de la Garde des Sceaux Christiane Taubira, qui avait publiquement regretté le manque d’empressement du parquet de Boulogne à poursuivre le collectif Sauvons Calais après la manifestation du 7 octobre, aura eu une influence sur le juge. »
Voilà le quotidien des Calaisiens, artisans, lycéens, ouvriers, pompiers, confrontés à de véritables criminels en bande organisée agissant grâce à l’impunité que leur confère le ministère de l’Intérieur Bernard Cazeneuve et le premier ministre Manuel Valls associés à Christiane Taubira, les trois s’entendant parfaitement pour organiser la répression contre ceux qui réagissent.
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