« Elle était une icône intouchable de la gauche, elle se retrouve sur un siège éjectable. » Un habitué des cénacles de la gauche résume ainsi la nouvelle position — inconfortable — de Christiane Taubira au sein du gouvernement.
Après avoir été sévèrement réprimandée par François Hollande, en pleine vague d’attentats islamistes, pour n’avoir pas mis en place une cellule d’aide aux victimes (une attribution de son ministère), Christiane Taubira est sous le feu des critiques pour le laxisme de sa politique pénale, qui a permis au terroriste Amedy Coulibaly de quitter la prison prématurément en 2014, après avoir été condamné à cinq ans.
Lire la suite sur Valeurs Actuelles
0 commentaires