Une nouvelle cause de dépenses dispendieuses pour les hôpitaux publics, s’accroît depuis quelques années, d’abord en Angleterre et maintenant en France : LES TRADUCTEURS…
700.000€ par an pour l’hôpital de Nottingham, 500.000€ à Leicester, 600.000€ à Derby, les frais s’accumulent avec l’affluence migratoire polyphonique. Pour les chômeurs qui possèdent une licence de « tamoul », ou plus simplement parlent le békélé ou le sanscrit, c’est une aubaine ! Car trouver des interprètes pour les dialectes exotiques n’est pas facile.
Lire la suite sur médias-presse.info

Mort du pape François
La disparition du pape François, en ce lundi de Pâques, marque la fin d’un pontificat très controversé. Le Parti de la...
0 commentaires