Jeudi, le Premier ministre grec a annoncé sa démission ainsi que l’organisation de prochaines élections législatives d’ici un mois.
« La plupart des Grecs que j’ai rencontrés ne sont pas surpris, mais déçus, parce qu’après plusieurs semaines de turbulences économiques et politiques, ils comprennent que l’instabilité en Grèce va continuer », rapporte Elisa Perrigueur, en direct d’Athènes.
Les Grecs sont fatigués et perdus. Certains sont en colère contre Syriza. « La seule chose qui est sûre pour le moment, c’est que la rentrée sera difficile avec l’application du nouveau mémorandum », rapporte la journaliste de France 2.
Mais Alexis Tsipras conserve tout de même une partie de son électorat, qui ne voit pas du tout dans la signature de ce mémorandum une trahison, mais au contraire une stratégie. Syriza est actuellement donné favori aux prochaines élections.
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