Roger Holeindre s’attaque aux mensonges de l’Histoire

6 Sep 2015 | Editorial | 0 commentaires

Par Robert Spieler.

Article paru dans Rivarol de cette semaine

Le nouveau livre de notre ami Roger Holeindre a pour titre « 1935/2015… 80 ans de mensonges et de calomnies, ça suffit ! »
En bandeau figure sur la couverture ce commentaire à destination de ceux qui n’auraient pas bien compris son message : « Outrageusement politiquement incorrect ! » Dans la préface, Anne Brassié relève : « Roger Holeindre est un chroniqueur, un Joinville égaré au XXème siècle ». Ce n’est pas un mince compliment. On retrouve dans ce livre les célèbres capacités d’indignation de Roger, sa fureur à l’encontre des médiocres, des traîtres, des menteurs, des manipulateurs, des lâches, mais aussi des pages absolument passionnantes sur des événements de l’Histoire dans lesquelles même ceux qui croyaient bien connaître certaines périodes découvriront des informations peu connues.

« Notre Histoire est maintenant écrite par des pieds-nickelés »

Le titre du premier chapitre donne le ton. Holeindre poursuit : « De façon honteuse maintenant des bobards insensés sur la guerre de 1939-1945 sont devenus des vérités premières et trouvent parmi tous les sectaires, les imbéciles, voire les débiles, des propagandistes qui en arrivent à bâtir notre Histoire sur des histoires », expliquant qu’ « aujourd’hui, si tout va mal en France, c’est la faute à Pétain ». L’auteur rappelle ainsi qu’en à peine six mois 500 000 tonnes de bombes furent larguées sur la France, et souvent, comme à Caen, après que les forces allemandes en soient parties. Il rappelle que les soldats alliés qui se comportaient le plus mal, les plus violents à l’encontre de la population, étaient les soldats US. Les civils français découvrent des cow-boys souvent avinés, bagarreurs, trafiquants, voleurs et violeurs. Les soldats noirs seront particulièrement actifs dans cette dernière catégorie… Holeindre rappelle aussi l’ignominie du général Leclerc qui fit fusiller le 8 mai 1945, à Bad Reichenhall, en Bavière, le lendemain de la signature de la capitulation allemande à Reims, une douzaine de soldats français de la division Charlemagne, au mépris de toutes les lois de la guerre. Il raconte la rivalité entre De Gaulle et Giraud, le voyage de De Gaulle à Moscou, fin novembre 1944, où Staline lui demande de ramener Thorez en France, ajoutant : « Mais… ne le fusillez pas tout de suite ! » Staline, qui était un humaniste comme on les aime avait dit au général : « Si vos communistes n’obéissent pas et vous posent de trop gros problèmes… fusillez-les ! »
Lire la suite

0 commentaires

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Lettre de diffusion

Inscrivez-vous à notre liste de diffusion pour recevoir nos actualités

 Agenda:

Il n’y a aucun évènement à venir.

Derniers articles:

Share This