Viktor Orban : « l’Islam n’a rien à faire en Europe ! »

18 Oct 2015 | Revue-de-Presse | 0 commentaires

C’est ce qu’a déclaré sans fard le premier Ministre de Hongrie, Viktor Orban, à l’hebdomadaire Allemand Focus, déclaration qui n’a pas manqué d’être largement relayée par la presse Allemande.

Pour ma part, lorsque j’ai lu cela, dit par un Chef d’Etat de la funeste UE qui s’est développée au fil des ans, sans que nous ne nous en apercevions, en UERSS, je crois que j’ai dû ressentir ce que les Parisiens ont éprouvé lors de la libération de la capitale.

Une joie immense me tétanisait.

J’ai mis les danses Hongroises de Brahms qui me mirent en extase. Je me disais que la France était tombée bien bas, car j’attendais un homme providentiel qui, comme le chef de l’Etat Hongrois, déclara haut et fort : « L’islam n’a rien à voir en France » et l’Europe aurait suivit.

Orban est l’homme qui déclarait au journal le Monde, dans une interview :

« Je ne veux pas invoquer de Gaulle, pour lequel j’ai le plus grand respect, mais il y a des moments dans l’histoire de nos sociétés où se référer à lui est utile. »

C’est donc de la Hongrie, suivie par d’autres pays de l’est, que viendrait le salut de l’Europe quand Merkel, Gauck (Président de la RFA), Hollande, Valls, déclarent que l’islam fait parti de l’Allemagne ou « qu’il fait parti de la France ».

Lui, Viktor Orban lance le contraire et dit que « l’Islam n’a jamais fait partie de l’Europe. »

Et les Grecs devraient se souvenir de 500 ans d’occupation Ottomane.

Orban connaît bien l’histoire de son pays et ce que signifie la menace islamique, contrairement aux amnésiques Grecs.  Il suffit de lire le texte de l’hymne Hongrois pour comprendre la fidélité de cet homme à son pays, largement suivi par son opinion publique.

Voici le texte intégral. En rouge, les passages qui feront comprendre aux lecteurs, mieux qu’un cours magistral d’histoire sur la Hongrie, ce que ce peuple et son chef peuvent aujourd’hui ressentir devant la menace islamique. Outre la magnifique musique !

Bénis le Hongrois, ô Seigneur,

Fais qu’il soit heureux et prospère,

Tends vers lui ton bras protecteur

Quand il affronte l’adversaire !

Donne à qui fut longtemps broyé

Des jours paisibles et sans peines.

Ce peuple a largement payé

our les temps passés ou qui viennent.

Aux Carpates, sur ton conseil

Nos aïeux osèrent s’étendre.

Quelle belle place au soleil

Tu aidas nos pères à prendre !

Aussi loin que de la Tisza

Et du Danube le flot danse,

Aux fils héroïques d’Arpad,

Tu as prodigué l’abondance.

Tu fis onduler, à l’instar

Des mers, les épis dans nos plaines,

Et tu permis que du nectar

De Tokay nos coupes soient pleines.

Grâce à toi, nos drapeaux ont pu

Flotter chez le Turc en déroute,

Les murs de Vienne être rompus

Par Matyas  et ses noires troupes.

Hélas ! nos fautes, trop souvent,

Ont fait éclater ta colère.

Et de tes nuages ardents

Tu as fait jaillir le tonnerre.

Alors ce furent les Mongols,

Leurs dards sifflants et leurs pillages,

Puis le Turc qui sur notre sol

Posa le joug de l’esclavage.

Que de fois, sur l’amas sanglant

Des cadavres de nos armées,

Par les cris orgueilleux d’Osman

La victoire fut proclamée !

Que de fois, ô Patrie, enfin,

Tes propres enfants t’attaquèrent !

Et par leurs crimes tu devins

L’urne funèbre de leurs frères.

Fuir ! Mais d’asile il n’était point

Contre le fer et sa furie.

Dans son propre pays, en vain

Le fuyard cherchait sa patrie.

Il allait par monts et par vaux,

Pour compagnons, douleur et doute,

Pour horizon, du sang à flots,

Et des flammes pour clef de voûte.

Là, ces ruines furent un fort,

Autrefois y régnait la joie.

À sa place, un râle de mort

Et des plaintes de cœur qu’on broie.

La liberté ne fleurit point,

Hélas ! dans le sang des victimes !

Les yeux de l’orphelin sont pleins

Des pleurs de ceux que l’on opprime.

rends pitié du Hongrois, Seigneur.

Si souvent il fut dans les transes !

Tends vers lui un bras protecteur

Dans l’océan de ses souffrances !

Donne à qui fut longtemps broyé

Des jours paisibles et sans peines.

Ce peuple a largement payé

our les temps passés ou qui viennent.

Lyrics: Ferenc Kölcsey, adaptation française : Jean Rousselot 1962. Musique : Ferenc Erkel

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En réaction à ce patriotisme – Oh le gros mot – la chancelière Angela Merkel s’est déclarée étonnée : « pourquoi les pays d’Europe de l’Est réagissent si brutalement et pourquoi ils sont si durs sur la question des réfugiés » comme le rapporte BILD ZEITUNG.

En effet, le premier ministre Hongrois a employé des mots explicites et clairs, dans son interview pour Focus, au sujet des demandeurs d’asile qui viennent en Europe pour des raisons économiques :

« Une vie Allemande ou une vie Hongroise ne peuvent s’acquérir que par le mérite », a affirmé le premier ministre.

Orban ne croit pas un seul instant que les demandeurs d’asile musulmans s’intègreront en Europe :

« L’islam a des règles différentes des nôtres. L’Europe doit défendre ses valeurs, ses modes de vies, la liberté de pensée et d’expression, la liberté religieuse et l’égalité hommes femmesIci, en Hongrie, c’est nous qui décidons. »

Il semblerait que ce soit sans appel…

Orban souligne que la politique d’immigration en Allemagne comme en France a échouée. Il conçoit qu’il n’a pas le droit de critiquer ce qui se passe dans d’autres pays, mais lance avec fermeté :

«  Ici, en Hongrie, c’est nous qui décidons si nous voulons cela ou non. Et, nous refusons. »

Jeudi déjà, la Hongrie et d’autres Etats Européens de l’Est avaient refusé les quotas pour les demandeurs d’asile.

Il me semble que les lecteurs de Dreuz, tout comme moi, peuvent retrouver quelque espoir, car un homme a dit NON.

Il ne vient pas de France, mais de Hongrie. Il est au pouvoir de son pays, d’autres pays le suivent et, il n’y a pas de raison que la conquête islamique ne soit plus arrêtée.

Le peuple Allemand, maintenant, conteste majoritairement cette invasion, et tous les sondages montrent qu’ils veulent un référendum sur la question.

Les idiots utiles aux pancartes « refugees welcome » ont disparu devant les violences récurrentes provoquées par ces nouvelles populations qui alarment la police. Le chaos s’installe en Allemagne, et il reste à espérer qu’il ne fera pas tâche d’huile. L’armée Bulgare tire sur les envahisseurs, comme le rapporte encore Focus  sur source de la DPA (l’AFP) Allemande.

Et comme l’affirme le Daily Mail, il n’y a jamais eu autant de frontières et de murs depuis la chute du mur de Berlin, pendant que les caciques Européens persistent contre leurs peuples.

Lobotomisés, les journalistes français ne rapportent aucune information dissidente.

N’est-ce pas Orban qui a raison ?

Ne dit-on pas qu’il vaut mieux avoir raison seul que tort avec tout le monde ?

Les peuples jugeront !

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hildegard von Hessen am Rhein pour Dreuz.info.

Sources :

lemonde.fr/viktor-orban-l-homme-qui-fait-peur-a-l-europe

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