gouvernement« Pas d’amalgame », « unité », « intentions fermes », autant de déclarations banales et sans effets, comme une leçon apprise par cœur et à laquelle on ne croit pas, trop embourbés que sont ces politiques et médias dans le « vivre ensemble ».
Mais je n’entends pas de sirènes dans les rues d’Andrésy, lesquelles résonnent souvent pour aller calmer les ardeurs des hordes « déshéritées » de Chanteloup-les-Vignes, dont beaucoup sont des fidèles de cet islam qu’on nous vend comme lumineux. Pas de sirènes, je me répète, pour aller débusquer les prédicateurs dans les mosquées, ces centres de formation à la haine de la France. La paix ethnique vaut bien quelques sacrifices ! La sûreté de la Nation devra s’en accommoder !
Les corps des victimes de Paris sont encore chauds et déjà, sur les plateaux de télévision, les musulmans « modérés » pérorent, comme en janvier, comme d’habitude. Personne n’osera leur dire : « Ces terroristes kamikazes, ce sont vos enfants, vous les avez éduqués ; ils ont baigné dans votre milieu socioculturel. » Non, il ne faut pas briser l’omerta : il y aura toujours de l’immigration, des constructions de mosquées et un enseignement obligatoire, et certainement renforcé, de l’islam…toujours et encore l’islam.
On contrôle les frontières, mais on ne les ferme pas. C’est cohérent. Peu importe qu’il s’agisse d’une extermination dans l’intention. Traîtres un jour, traîtres toujours, messieurs-dames du gouvernement ! Passez, passez, soldats du Croissant, puisque la porte est ouverte et que les gorges sont offertes !
Pourtant, il suffirait d’une sincère volonté politique pour neutraliser ces ennemis héréditaires de l’Occident. Oui, il n’y aurait qu’à promulguer l’Article 16, qui confère des pouvoirs exceptionnels au Président de la République ; il n’y aurait qu’à extirper des prisons labellisées Taubira les apprentis djihadistes et les torturer jusqu’à ce qu’ils crachent ce qu’ils savent. Pour cela, il suffirait d’avoir ce que nous n’avons pas : des dirigeants politiques qui aiment la France.
Le compteur, pendant ce temps, continue de tourner. Au moment où j’écris, déjà 127 morts. Combien de vies qui ne demandaient que vivre et rien d’autre ? Qui désignera les coupables de leur mort, directs ou indirects : oui, s’acoquiner avec l’Arabie Saoudite, le Qatar – deux pays abominablement intégristes, c’est-à-dire fidèles au message coranique – c’est meurtrier ; comme d’accueillir des migrants dont on ne sait rien et qui sont potentiellement dangereux ; comme d’accepter les exigences d’une religion qui a fait la preuve de son incapacité en même temps que son refus – et ce, dans le monde entier – à s’intégrer à une autre culture ; comme, enfin, de bâillonner les voix dissonantes qui se dressent contre cette tentative d’anéantissement de notre identité.
Tout ça s’est passé un vendredi 13, date rendue mythique par l’arrestation des Templiers, en 1307. Des Templiers qui avaient eu le courage de se lever contre l’islam. Facétie tragique de l’Histoire qui, peut-être, nous indique la voie à suivre : repartir en croisade contre ce fléau venu des déserts où il ne pousse rien que de la souffrance.
J’ai habité deux décennies à Paris ; j’ai connu les attentats de 1986 : je me souviens de la peur ressentie. Aujourd’hui, je n’y vis plus, mais ces massacres de vendredi se sont invités dans mon intimité : mon fils sortait hier soir, avec un copain, dans les rues de la capitale. Moi, je me suis couché de bonne heure et n’ai appris l’odieuse nouvelle qu’au matin. Panique, mais tout va bien bien…pour moi. Pour les autres, mes dérisoires condoléances n’atténueront pas leur chagrin. Je leur dédie cet article.
Charles Demassieux
Source : http://ripostelaique.com/
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