Editorial Général (2s) Antoine MARTINEZ. Voilà le pays plongé dans l’effroi, la stupeur et la douleur, une douleur qui pourrait cependant, passé le temps de l’émotion et du deuil, se transformer en colère si des réponses rapides ne sont pas à présent
apportées à ce défi immense qu’il est impératif, car vital, de relever sans tarder. Il n’est plus temps, en effet,
de tergiverser devant l’évidence :l’islamisme est bien l’ennemi à abattre, le cancer à éradiquer.
Mais il faut bien admettre que l’islam(isme) découle d’une lecture littérale du Coran car il est l’intégralité de l’islam. De surcroît, cet horrible massacre nous apporte la preuve, s’il en était besoin, que cet ennemi est à l’extérieur mais également à l’intérieur, sur notre propre territoire. Nombreux sont ceux qui n’en étaient encore pas convaincus après les attentats de janvier dernier et les attaques déjouées depuis par miracle qui sont pourtant autant de signaux clairs. Mais manifestement, d’autres ne le sont toujours pas puisqu’ils faudrait, selon certains d’entre eux, rechercher la responsabilité de ce massacre chez les Français eux-mêmes qui seraient racistes au prétexte qu’ils veulent simplement défendre leur identité, leur culture, leur civilisation. Ce sont ces mêmes – nombreux dans la société, qui, par soumission à la bien-pensance, par déni de la réalité, par idéologie, considèrent l’immigration extra-européenne comme une chance, cherchant toujours des excuses aux dérives communautaristes contraires aux valeurs de la nation, aux principes de la République, à nos traditions et à nos modes de vie – qui n’ont cessé de vilipender et de condamner les sonneurs de tocsin. Pour m’être exprimé sur ces sujets auprès du Président de la République, je l’ai moi-même été, entre autres, par un élu du peuple pour qui ma prose téléguidée par des conspirateurs que l’on reconnaît sans peine » mérite son parfait mépris. Et d’enfoncer le clou, dans l’éventualité où je n’aurais pas compris : » Quoi qu’il en soit, on ne s’étonne plus à vous lire que notre pays ait été trahi en 1940 par ceux-là mêmes qui avaient pour mission de le défendre. En même temps vous déshonorez ceux des militaires qui se sont battus pour la France ». Et de conclure « Avec les regrets que notre pays ait pu vous compter parmi ses officiers généraux ». Fermez le ban! Il va bien falloir maintenant que ces procureurs de la bien-pensance, arrogants, qui sont persuadés de détenir la vérité, fassent preuve d’un peu plus de réalisme et qu’ils cessent de jeter l’anathème sur toute pensée ou analyse qui ne leur conviennent pas pour empêcher le débat. Par l’analyse de ce carnage mené dans une opération planifiée et coordonnée fournit trois certitudes et contredit ce que beaucoup, y compris parmi les journalistes, considèrent comme des fantasmes. Première certitude la cinquième colonne existe bien puisqu’une partie du commando était composée de jeunes « Français » issus de l’immigration de confession musulmane et morts en martyrs au nom d’Allah. Les Français découvrent, par ailleurs, que Saint-Denis, cité royale et chrétienne, et nécropole des rois de France, fille aînée de l’Église, est devenue l’équivalent de Molenbeek, en Belgique, c’est à dire cité de l’islam, conséquence de 40 ans de laxisme et de lâcheté. La progression de l’enquête, avec les arrestations qui sont opérées dans plusieurs pays européens (Belgique, Allemagne…), permet d’ailleurs de mettre en évidence l’implication et donc l’existence d’une cinquième colonne qui a tissé sa toile sur le sol européen. Cela signifie que d’autres pays européens seront bientôt frappés à leur tour. Quant à la France, elle n’est qu’au début d’un long chemin de croix car les fous d’Allah y ont dorénavant importé leurs pratiques les plus démoniaques: égorgements, décapitations, bombes humaines avec des kamikazes, tueries de masse. Deuxième certitude, les flux migratoires massifs et incontrôlés qui déferlent sur l’Europe sont infiltrés par de nombreux djihadistes. Deux des terroristes tués à Paris, en provenance de Turquie avaient posé le pied sur le sol grec au début du mois d’octobre dernier et ont participé au carnage de Paris à peine quelques semaines après. Cela ne devrait cependant pas surprendre puisque l’État islamique l’avait promis il y a un an. Mais chacun sait que ce dernier fait ce qu’il dit sauf nos gouvernants ainsi que ceux qui dirigent » l’Union européenne et qui restent impassibles devant ce flux continu de migrants, incapables de prendre la moindre décision face au chaos qui attend l’Europe. Circonstance aggravante pour nos gouvernants, ils n’ont pas pris la mesure du danger depuis les attentats du début de l’année, sourds à la multitude de signaux l’alarme car oobsédés par le prétendu combat qu’ils mènent contre un parti politique qu’ils contribuent à faire progresser. Ils en ont oublié le rôle premier du politique: la défense et la protection de la nation.Troisième certitude. Il existe sur notre sol, entre ces islamistes radicaux »français »volontaires pour le djihad (plusieurs dizaines de milliers d’individus dangereux aujourd’hui) et une population d’origine immigrée de confession musulmane respectueuse des lois, un cercle intermédiaire composé de centaines de milliers, voire de millions de personnes plus ou moins acquises aux premiers et prêtes à les aider, qui occupent les territoires perdus de la République qui n’ont plus rien de commun avec la France. C’est probablement le problème majeur auquel notre pays est confronté à présent car cette situation compromet sérieusement l’unité du peuple français et son avenir. Il est la conséquence de la lâcheté de la classe politique qui n’a pas cessé de mentir. Quant aux médias, dans leur majorité, ils ne sont pas moins coupables car ils mentent par omission en cachant la réalité sur le terrain. En effet, des unités militaires ont été déployées pour le bouclage de la zone d’intervention du RAID et de la BRI dans l’opération menée à Saint-Denis. Pourquoi aucun journaliste n’a mentionné le fait que nos soldats ont été violemment insultés et menacés de mort par des habitants du quartier et estiment avoir été confrontés à un climat et une situation de tension proches de ceux qu’ils ont eu à gérer à Bangui avec le sentiment d’être face à une population hostile qui défend son territoire contre une troupe « d’occupation »?.
suite sur le lien en pièce jointe Editorial décembre 2015.pdf
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