Samedi soir s’est tenue à Beauvais une conférence organisée par le Parti de la France, laquelle a réuni une cinquantaine de patriotes proches de partis ou de réseaux variés agissant pour la survie de notre pays, montrant une volonté commune de passer outre les clivages ou les querelles politiciennes pour rassembler toutes les bonnes volontés visant à défendre notre civilisation.
Cette réunion était présidée par Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, accompagné par David Martin du parti de Renaud Camus « Non au Changement de Peuple et de Civilisation », de Pierre Cassen, et de Loïc Perdriel, président de Pegida France.
C’est David Martin qui a ouvert le bal, rappelant la majorité d’incarcérés d’origine immigrée dans nos prisons, s’alarmant des risques sanitaires sur la population avec l’arrivée massive de clandestins porteurs de maladies pourtant éradiquées de longue date, fustigeant les médias aux ordres de certains lobbies et qui présentent le grand remplacement comme une théorie fumeuse et complotiste et qui qualifient tous les lucides hermétiques à leur propagande de fascistes. Il nous a fait part de son constat d’un grand remplacement perceptible même en milieu rural, dans les petits villages français, et plus remarquable encore lorsqu’on compare des photos de classe des années 70 avec celles d’aujourd’hui.
Evoquant « la valise ou le cercueil », il nous a dit croire en la possibilité d’une remigration, ajoutant que « la France et ses colonies ont divorcé il y a 50 ans et c’est la France qui a eu la garde des enfants ».
Le jeune président de Pegida France, a pris sa suite. Loïc Perdriel a relaté les origines du mouvement en Allemagne et la volonté de l’étendre aux autres pays européens eux aussi touchés, avant de fustiger ces « conflits par procuration » qui se règlent sur notre sol alors qu’ils nous sont étrangers. Pegida, a t-il prévenu, est « le grain de sable dans la politique du gouvernement et nous ne nous laisserons pas intimider par toutes sortes de stratégies diffamatoires », à quoi il a ajouté que « nous ne vivons pas pour des idées, non plus pour des théories ou pour des programmes de partis politiques, nous nous battons pour le peuple français, pour la préservation de son existence, grâce à notre propre détermination, notre propre courage et notre propre persévérance ».
Notre fondateur Pierre Cassen, rompu à l’exercice, n’a pas eu besoin de micro pour s’exprimer. Il s’est d’abord réjoui de constater la jeunesse de l’auditoire contrastant avec un public habituellement plus proche du poivre et sel. Se voulant rassembleur, Pierre a expliqué que les désaccords entre diverses paroisses patriotes n’étaient somme toute que d’aimables querelles bien secondaires par rapport à tout ce qui devrait nous rassembler tous : la défense de notre pays, de notre peuple, de notre civilisation.
Il a expliqué la méthode de la « peau de panthère », cette islamisation par petites touches auxquelles on s’habitue une décennie après l’autre et visant à instaurer au final le califat imposé par la charia, la loi islamique, par le coran. Il a rappelé qu’en 1985 la terre de France ne comptait en tout et pour tout que 4 mosquées et que trente ans plus tard, ce sont près de 2 500 mosquées « casernes » financées en partie par les impôts publics sous couvert de baux emphytéotiques et autres tours de passe-passe, des mosquées dont l’architecture arabisante défigure notre terroir, nos paysages, nos rues.
L’halalisation de la France est aussi tristement visible avec des commerces affichant leur caractère islamiste en devanture mais aussi avec nombre d’abattoirs pratiquant l’abattage rituel sans étourdissement qui plonge durant de longues minutes l’animal sacrifié dans de terribles souffrances aussi inutiles qu’indignes de pratiques civilisées, et qui plus est en bafouant totalement les normes européennes.
Désireux d’appliquer le principe de précaution si cher à la sphère « écologiste », Pierre a évoqué ces cris de joie dans les prisons et les quartiers islamisés consécutifs aux attentats, et le perpétuel silence bienveillant, ou tout au moins très assourdissant, des musulmans dits « modérés ». On songera bien sûr à Salah Abdeslam ostensiblement protégé par la population musulmane de Molenbeek, tant chez ceux répertoriés comme extrémistes que chez ceux étiquetés comme « modérés »… Chacun en déduira ce qu’il peut.
Il a rappelé que Valls avait déclaré que nous étions en guerre sans toutefois préciser contre qui, ce qui est tout de même un peu gênant, et il n’a pas davantage suggéré que nous participions à ce combat qui nous visait. Nous sommes donc en guerre mais avec l’interdiction de contrer ceux qui nous la déclarent. Voilà qui est remarquable tout de même ! Il s’agit là une méthode tout à fait expérimentale, une curiosité forcément sortie d’un cerveau socialiste, car cela ne s’est jamais vu dans aucun pays au monde ni à aucun moment de l’Histoire. C’est en effet la première fois dans toute l’histoire de l’humanité que des hommes venus en guerriers sont protégés par les dirigeants des pays qu’ils attaquent et que l’on interdit au peuple agressé de se défendre. Erdogan racontait que les mosquées sont des casernes et leurs fidèles des soldats. Or, depuis les attentats de Charlie Hebdo, rappelait Pierre, aucune mosquée n’a été fermée, pas même une mosquée réputée comme radicale. Par contre le régime socialiste entend désarmer les chasseurs mais pas les possesseurs de Kalachnikov des cités, ce qui atteste clairement, si l’on en doutait, de sa volonté de voir ces derniers éliminer le peuple français, les « mécréants ». D’ailleurs les islamistes l’ont parfaitement compris puisqu’ils pavoisent en toute transparence sur le net, se vantant d’être nos remplaçants, de vouloir nous tuer, sans que jamais Cazeneuve ou autre n’y trouve matière à redire.
Et ces imbéciles de bobos qui dessinent des petits cœurs à la craie…
Comme Pierre, Thomas Joly, prenant la parole à son tour, a souhaité le rassemblement sur l’essentiel, estimant, à juste raison, absolument scandaleux qu’un ministre ait l’aplomb de nous demander de nous habituer aux attentats, fustigeant ce gouvernement « qui a capitulé », un gouvernement « fébrile » qui tend à persécuter le peuple « qui pense comme nous » mais qu’on n’entend pas parce que son expression est censurée.
Lui aussi s’est dit frappé par la solidarité flagrante des habitants de Molenbeek quand Abdeslam pouvait tranquillement aller acheter des frites en bas de chez lui au vu et au su de tous. Pourriez-vous sérieusement imaginer un Gaulois, ennemi public numéro 1 recherché par toutes les polices, déambuler tranquillement dans son village sans que personne ne le dénonce et sans que la police se rende compte qu’il est là ? Non, bien sûr !
Thomas a rappelé le rapport dominant-dominé et l’irresponsabilité inhérents à l’islam, ainsi que les terrifiantes statistiques sur la consanguinité en Algérie puisque 1 Algérien sur 4 fait des enfants à sa cousine. Il a plaisanté sur le fait qu’on nous demandait sans cesse de ne pas faire d’amalgame quant aux hauts faits des adorateurs d’Allah mais qu’en attendant les meurtriers de kouffars n’avaient pas pour coutume de crier « alléluia ! » avant de se faire sauter, s’amusant de ce que les médias avaient osé affirmer que l’islamiste qui avait fauché les visiteurs d’un marché de Noël aurait crié « allah ouakhbar ! » pour « se donner du courage »…
Dans sa lancée moqueuse, il a noté le calendrier particulièrement bien calé entre la scandaleuse campagne #TousUnisContrelaHaine, laquelle continue d’être diffusée toute honte bue, et l’attentat de Bruxelles. On tente laborieusement de nous faire croire que ce serait les pauvres Mokhtar et Mouloud qui raseraient les murs de crainte de se faire agresser par Sandrine, Vincent ou Delphine criant « Jésus reviens ! » pour se donner du courage, notant au passage que même si l’attentat contre Charlie Hebdo était inacceptable, il était tout de même piquant de noter que les victimes du journal œuvraient pour le vivre ensemble, ridiculisant en permanence les chrétiens, bref clamaient finalement leur désir de fraterniser avec ceux qui les ont tués, ces derniers leur manifestant en retour une bien curieuse reconnaissance.
Mais qu’attendre d’individus ne faisant finalement qu’obéir à leur saint livre ? Car la sourate 4:89 stipule on ne peut plus clairement : « tuez-les partout où vous les trouverez », un appel au meurtre de masse des « kouffars » (nous) inscrit noir sur blanc dans les milliers de corans publiés et vendus librement dans notre pays sans qu’aucun gouvernement ne daigne s’en émouvoir ni prendre les mesures qui s’imposent, sous prétexte de « vivre ensemble » (un concept pourtant absolument rejeté par l’islam), contre un livre notoirement guerrier, comme l’avait signifié Erdogan et Dalil Boubakeur lorsque ce dernier admettait que l’islam était une « idéologie d’agression ».
La réalité c’est que nous allons, nous, mourir ensemble… entre mécréants. Les charrettes de la mort ont commencé à attaquer dans le RER en 95, puis à Londres, à Madrid et ensuite chez Charlie Hebdo, au Bataclan et dans les cafés le 13 novembre dernier. Aujourd’hui elles sont passées à Bruxelles… Où et quand aura lieu la prochaine charrette ? Et combien de charrettes devra-t-il encore y avoir avant que tous les Français comprennent et admettent l’origine coranique du problème et l’utopie suicidaire d’une fraternisation totalement fantasmée ?
Imaginons un instant des chrétiens en Arabie Saoudite allant se faire sauter au beau milieu de la foule, nous a demandé Thomas. La réplique ne se ferait pas attendre, les chrétiens seraient aussitôt punis et exécutés sans état d’âme, pour protéger le peuple, comme devrait le faire un gouvernement sain et responsable, un gouvernement désigné pour protéger en principe les intérêts et la vie de son peuple. Mais notre régime dégénéré fait tout l’inverse en protégeant au contraire des assassins déjà connus, fichés S mais libres, embauchés parfois par des entreprises d’Etat même. On songera à un certain Samy Amimour machiniste à la RATP et dûment fiché S…
Voilà une aberration gouvernementale sans nom que des bobos tout aussi dégénérés que ceux pour qui ils votent plébiscitent en dessinant des petits cœurs à la craie. « Toutes les utopies gauchistes, mondialistes, pro métissages, xénophiles se fracassent la gueule sur le mur des réalités, se fracassent la gueule sur le mur de l’immigration, face à cette invasion, à cette colonisation migratoire », a ainsi conclu le secrétaire général du Parti de la France, avant de nous proposer, comme le veut cette tradition bien de chez nous, d’aller boire le verre de l’amitié.
Caroline Alamachère
Source : http://ripostelaique.com/
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