Nuit debout qui dégénère, université bloquée, agressions d’étudiants hostiles au blocage, incendie volontaire d’un squat de « migrants » : y a-t-il encore un pilote dans la ville de Caen ?
Depuis de nombreux jours, la ville de Caen est devenue une source de tension qui tend à devenir insupportable : feux de palettes et affrontements avec les forces de l’ordre place Saint-Sauveur sur fond de « Nuit debout », université bloquée par des militants ultra-agressifs dont les étudiants et les étudiantes commencent à se plaindre gravement (violences, menaces de viols, etc.), incendie volontaire par des « migrants » d’un bâtiment de la presqu’île qui était pressenti pour être classé au patrimoine historique, etc.
Cette avalanche d’événements négatifs qui dégradent le climat de la ville est à chaque fois le fait d’individus qui enfreignent la loi. Il ne devrait donc y avoir que des interpellations et un retour au calme.
Cependant, la mairie « de droite » laisse les agitateurs d’extrême gauche et les immigrés clandestins dans un état d’impunité insupportable pour les Caennais qui voient leur tranquillité et leur patrimoine être réduits à néant.
Le Parti de la France du Calvados appelle les autorités à faire appliquer la loi avec la même intransigeance que lorsqu’elles ont affaire à des automobilistes ou à des militants patriotes.
Communiqué de presse du Parti de la France- Calvados
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