Bataclan : La commission d’enquête confirme que des actes barbares ont eu lieu à l’intérieur du Bataclan : décapitations, éviscérations, énucléations.

29 Juil 2016 | Revue-de-Presse | 1 commentaire

Blackout des médias sur ces actes ignobles. Comme nous le révélions le 14 juillet, la commission d’enquête parlementaire sur les attentats du 13 novembre, présidée par Georges Fenech, a publié son rapport qui fait état d’actes de barbarie immondes perpétrés par les islamistes à l’intérieur du Bataclan.

Pas un média français n’en a parlé ! Le blackout sur ces actes ignobles semble avoir été ordonné par l’Elysée au nom du « padamalgame »…

Durant l’attentat du Bataclan qui a fait 89 victimes, sur les 130 victimes de la capitale, des scènes de torture d’une barbarie inimaginable ont été perpétrées par les terroristes islamistes: décapitations, yeux et testicules arrachés, viols…

Les victimes ont également été éventrées ou décapitées et ont eu, pour certaines, les yeux crevés. Les djihadistes ont filmé les tortures.

Voici des extraits du rapport du député Georges Fenech, président de la commission d’enquête parlementaire sur les attentats, publié sur le site de l’Assemblée nationale  le 5 juillet dernier rien de plus officiel donc:

M. le président Georges Fenech. Pour l’information de la commission d’enquête, monsieur P. T., pouvez-vous nous dire comment vous avez appris qu’il y avait eu des actes de barbarie à l’intérieur du Bataclan : décapitations, éviscérations, énucléations… ?

M. T. P. Après l’assaut, nous étions avec des collègues au niveau du passage Saint-Pierre-Amelot lorsque j’ai vu sortir un enquêteur en pleurs qui est allé vomir. Il nous a dit ce qu’il avait vu. Je ne connaissais pas ce collègue, mais il avait été tellement choqué que c’est sorti naturellement.

M. Alain Marsaud. Les actes de tortures se sont passés au deuxième étage ?

M. T. P. Je pense, car je suis entré au niveau du rez-de-chaussée où il n’y avait rien de tel, seulement des personnes touchées par des balles.

M. le président Georges Fenech. Je crois que certaines choses n’ont jamais été dites. Je pense que l’on pourrait peut-être, à ce stade, éclaircir les choses.

M. T. P. Des corps n’ont pas été présentés aux familles parce qu’il y a eu des gens décapités, des gens égorgés, des gens qui ont été éviscérés. Il y a des femmes qui ont pris des coups de couteau au niveau des appareils génitaux.

M. le président Georges Fenech. Tout cela aurait été filmé en vidéo pour DAECH !

M. T. P. Il me semble. Les victimes en ont parlé.

M. le rapporteur. Ces actes ont été commis par les deux survivants.

M. Pierre Lellouche. Les exactions sur les gens se sont déroulées à quel endroit ?

M. T. P. À l’étage.

M. Pierre Lellouche. Cela se passe après que l’individu que vous avez blessé est remonté ?

M. T. P. Je pense même que ça s’est produit avant, mais ce n’est que mon avis personnel. Pendant que nous fixions un terroriste à la porte de secours, un autre faisait toutes ces choses ignobles à l’étage.

M. Pierre Lellouche. La vidéo est partie ?

M. le président Georges Fenech. Je crois savoir que des vidéos sont parties.

M. Pierre Lellouche. On peut le savoir si l’on a récupéré les portables des victimes. On les a ?

M. T. P. Ils se sont fait exploser. Il y a eu des personnes décapitées, égorgées, éviscérées. Il y a eu des mimiques d’actes sexuels sur des femmes et des coups de couteau au niveau des appareils génitaux. Si je ne me trompe pas, les yeux de certaines personnes ont été arrachés.

M. le rapporteur. Les terroristes du Bataclan ont-ils commis des décapitations ou des mutilations ? Des décès se sont-ils produits autrement que par fusillade ou explosion ? Nous sommes saisis d’informations contradictoires — dont certaines nous ont été communiquées lors de nos auditions — qu’il faut éclaircir.
A l’institut médico-légal de Paris, on m’a dit… qu’on avait coupé les testicules [de mon fils], qu’on les lui avait mis dans la bouche, et qu’il avait été éventré.

M. le président Georges Fenech. En effet, la commission est troublée par ces informations, qui n’ont filtré nulle part. Ainsi, le père de l’une des victimes m’a adressé la copie d’une lettre qu’il a transmise au juge d’instruction, que je cite en résumant :

« Sur les causes de la mort de mon fils A., à l’institut médico-légal de Paris, on m’a dit, et ce avec des réserves compte tenu du choc que cela représentait pour moi à cet instant-là, qu’on lui avait coupé les testicules, qu’on les lui avait mis dans la bouche, et qu’il avait été éventré. Lorsque je l’ai vu derrière une vitre, allongé sur une table, un linceul blanc le recouvrant jusqu’au cou, une psychologue m’accompagnait. Cette dernière m’a dit : ?La seule partie montrable de votre fils est son profil gauche. » J’ai constaté qu’il n’avait plus d’œil droit. J’en ai fait la remarque ; il m’a été répondu qu’ils lui avaient crevé l’œil et enfoncé la face droite de son visage, d’où des hématomes très importants que nous avons pu tous constater lors de sa mise en bière. »

Ces témoignages ont été publiés dans les médias anglophones comme Washington TimesFox News, Daily Mail. En revanche les médias français, aux « ordres » du gouvernement ont totalement occulté ces actes barbares. Seul Le Parisien en bon élève c’est fendu d’un article pour nier les faits

Chacun jugera de l’objectivité des médias français.

© Christian De Lablatinière pour Europe Israël News

1 Commentaire

  1. Franck

    Un très grand merci pour ces informations, pour l’éclairage sur la position ahurissante et abjecte des médias et politiques français, et pour le lien vers le rapport de la commission d’enquête !

    Réponse

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