Le cri d’alarme n’était pas passé inaperçu. « Aujourd’hui, à Trappes, la République a totalement disparu. Vous avez une ville qui est gouvernée par des islamistes, des djihadistes, des Frères musulmans, des salafistes. […]
C’est terrible », tempêtait Alain Marsaud, député Les Républicains des Français de l’étranger et ex-juge antiterroriste, réputé pour son franc-parler, fin juillet. « Mensonge, diffamation, outrance, mépris », réagissait aussitôt son collègue PS de la circonscription concernée des Yvelines et ancien conseiller municipal de Trappes, Benoît Hamon, qui dénonçait encore, piqué au vif, des « attaques méprisantes » et « la propagation de préjugés et assertions non étayées par les faits ».
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