Dans un entretien au Figaro, le philosophe Pascal Bruckner dit tout le mal qu’il pense de la réforme du collège initiée par Najat Vallaud Belkacem. : « On leur supprime le latin, le grec et l’allemand pour leur donner à la place du Jamel Debbouze. L’école devient le véhicule de l’ignorance et non du savoir ».
L’essayiste moque notamment cette école qui institue le « cancre comme le grand dénominateur commun de la classe » et la novlangue pédagogiste dans laquelle nager devient «se déplacer de façon autonome dans un milieu aquatique profond standardisé». « On touche le fond ! » conclut Pascal Bruckner.
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