Une dizaine de trafiquants et toxicomanes, titubants et hurlants, s’affrontant à coups de poing, de pied et de casque de moto… Filmée avec son téléphone portable par un habitant de la rue Ambroise-Paré, où est installée la salle de shoot, la vidéo fait froid dans le dos.
« Ce qui m’a fait vraiment peur, raconte le riverain, c’est la personne qui arrive au milieu de la rue, avec quelque chose dans la main qui ressemble bien à une arme. » Depuis six mois, et l’ouverture de cette salle, pudiquement appelée « de consommation à moindre risque », c’est un « véritable enfer », comme le dit Serge Lebigot, président de l’association Parents contre la drogue, que vivent, au milieu d’un assourdissant silence médiatique, la plupart des habitants et commerçants des alentours
Lire la suite sur Valeurs Actuelles
0 commentaires