Mûrs pour la dhimmitude

24 Mai 2017 | Revue-de-Presse | 0 commentaires

Après Sevran et La Chapelle-Pajol, les femmes n’ont-elles plus droit de cité dans nos quartiers populaires?

On lit ensuite :

Les femmes sont devenues les premières victimes de la montée du sexisme, de l’insécurité et du harcèlement de rue. À Paris le phénomène a pris une ampleur inédite.

Tout l’article est de la même veine. On y parle d’une « situation d’un autre âge », de la façon dont on pourrait lutter contre cette « gangrène sexiste », contre les « tenants du machisme archaïque »…

Mais il n’y a pas un mot sur le processus qui a conduit à cette situation. Pas la moindre allusion au fait que les quartiers « populaires » sont ceux d’autres peuples, et surtout d’une autre religion

Lire la suite sur le blog d’Yves Daoudal

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