Gérard Collomb, ministre de l’intérieur, vient de mettre un terme à l’expérience bobo-radical-chic de l’unique centre de « déradicalisation » de France. Situé à Pontourny en Indre-et-Loire, pouvant recevoir 25 personnes « radicalisées», volontaires pour « être déradicalisées », il était vide depuis février, son dernier pensionnaire ayant été condamné pour des faits de violences familiales. Cette fermeture est le signe du véritable fiasco de l’initiative créée en 2016 avec pour objectif lunaire de « préparer, proposer et dispenser une offre et un programme pédagogique utilise à la réinsertion de jeunes radicalisés en voie de marginalisation ».
Ce centre éphémère mais coûteux comprenant des ateliers slam, la possibilité de pratiquer les arts martiaux, l’équithérapie, le jardinage et la pratique de la religion musulmane n’aura été qu’une autre vaste fumisterie de la gauche bien-pensante. Pour enfumer les Français en leur faisant croire à la fable des gentils islamistes adeptes volontaires de la désintoxication musulmane…
La réalité est tout autre : en tout et pour tout, ce gadget socialiste mis en place par l’ancien ministre de l’intérieur, le nerveux Manuel Valls, n’aura reçu que 9 personnes dont aucune n’aura suivi la programme jusqu’à son terme. Pire, l’un des pensionnaires, Mustafa S., 24 ans, avait été interpellé lors d’une opération antiterroriste dans le Bas-Rhin à l’occasion d’une permission de sortie, alors qu’il essayait, pour la seconde fois, de partir en Syrie faire le djihad.
« L’expérience ne s’est pas révélée concluante, a déclaré le ministère dans un communiqué. L’expérimentation d’un centre d’accueil ouvert, fonctionnant sur la base du volontariat, a montré ses limites. Le gouvernement a ainsi décidé demettre un terme à l’expérimentation conduite à Pontourny, sur la commune de Beaumont-en-Véron. »
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info
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