Un Italien : « Je préfère 10 ans de fascisme plutôt qu’une Europe africanisée »

13 Août 2017 | Revue-de-Presse | 0 commentaires

“Je préfère 10 ans de fascisme plutôt que de subir ce qui se prépare : une Europe africanisée, détruite, dans laquelle nous serons des étrangers chez nous. Dans laquelle nos enfants ne seront que de la chair à consommer et à tuer.”

 

Tel est le coup de colère d’un citoyen réagissant à la détresse des habitants de Vintimille, submergés par le tsunami migratoire venu d’Afrique. Un coup de colère qui en dit long sur le ras-le-bol des peuples face à l’immigration sauvage et que les dirigeants européens seraient bien avisés de ne plus ignorer.

http://lesobservateurs.ch/2017/08/10/on-nen-peut-plus-les…

Voilà où nous mènent les poules mouillées qui nous gouvernent, lesquelles s’obstinent à nous imposer une société multiculturelle dont les peuples ne veulent plus. C’est l’exaspération la plus totale que les élus refusent de prendre en compte.

Quand on écoute les citoyens confrontés au choc culturel et soumis aux nuisances des migrants, le discours est partout le même, en Italie, en France, en Allemagne, en Suède et bien d’autres pays.

Les témoignages accablants sont innombrables mais le pouvoir les dissimule.

Car la presse véhicule des mensonges et ne relaie que des reportages à l’eau de rose, se gardant bien de rapporter la détresse vécue par les riverains de Calais ou de Vintimille, pour ne citer que ces deux exemples.

A croire qu’un bidonville ou un camp sauvage sont une richesse culturelle !

Voici quelques paroles d’habitants de Vintimille, ville frontière avec la France, où les habitants désespérés subissent le même calvaire que les Calaisiens.

“On n’en peut plus, la ville est envahie.”

“On ne peut plus vivre librement dans notre ville.”

“Ce n’est plus notre ville, c’est juste un énorme camp de réfugiés.”

“Le gouvernement nous l’impose et on paye.”

“Où est la souveraineté du peuple. ?

“On ne peut plus vivre. Nos femmes ne peuvent plus se promener seules la nuit.”

“La situation ne fait que se dégrader, on n’en peut plus.”

“En fait, il n’y a plus du tout de touristes et on trouve de moins en moins de travail.”

A Vintimille, Calais, et bien d’autres villes ou quartiers envahis par les migrants, même combat, même constat, même discours.

Non pas le discours mielleux et mensonger des rédactions ou des politiques, tous confortablement installés dans leurs bureaux climatisés, bien loin des nuisances des camps sauvages qui fleurissent partout.

Mais le discours du réel, du vécu, par des riverains qui sont à bout, qui vivent dans la peur, qui voient leurs biens perdre de la valeur, qui voient leurs conditions de vie se dégrader de jour en jour. Des citoyens désespérés qui voient leur avenir et surtout celui de leurs enfants s’assombrir.

Des victimes qui subissent de plein fouet le raz-de-marée et que les autorités ignorent et méprisent, tandis que la bobosphère les taxe de racisme et de xénophobie. Leur vie est bouleversée et on les traite de salauds ou de fachos !

C’est le naufrage absolu de notre politique d’accueil, qui fait la part belle  aux clandestins, aux illégaux, aux hors la loi, qui se comportent en envahisseurs et ne respectent plus rien.

On ne compte plus les scènes de violences, les agressions sexuelles de masse comme en Allemagne, les dégradations, les vols. Les migrants ne demandent plus, ils exigent, assurés de l’appui des associations et du pouvoir.

Et que dit Emmanuel Macron ? Il veut que la France prenne toute sa part du fardeau, alors qu’il faudrait stopper net cette invasion qui va détruire l’Europe.

Car parmi ce flot ininterrompu, seulement 10% sont des réfugiés fuyant la guerre. Les autres sont des migrants économiques et des clandestins attirés par la manne sociale. 600 millions d’Africains vivent sans électricité et logent dans des conditions moyenâgeuses.

En Afrique et au Maghreb, pour un jeune, le symbole de la réussite sociale c’est gagner l’Europe et y être régularisé pour accéder aux droits sociaux.

Et ce n’est pas le “célèbre” polygame de Bobigny, avec ses 4 femmes et 46 enfants, qui dira le contraire. Avec ses confortables prestations sociales, cet ex-agent d’entretien ne travaille plus depuis longtemps, mais dans son village au nord du Mali, il est le symbole de la réussite. Un modèle à suivre !

Rien d’étonnant à ce que la France soit le premier pays polygame d’Europe !

Le gouvernement est tout fier d’avoir ouvert 2 nouveaux centres dans le Nord et le Pas-de-Calais, 180 places au total, alors qu’il arrive chaque jour 250 migrants dont 100 à Paris !

C’est dire combien l’Etat est dépassé par l’ampleur du désastre.

Un migrant coûte 30000 euros au contribuable, c’est 15 fois le PIB/hab d’un Africain ! L’Europe c’est l’Eldorado.

De nombreuses villes allemandes ne veulent plus être une terre d’asile.

http://actu.orange.fr/monde/videos/migrants-en-allemagne-…

En Suède, jusque là terre promise pour tout migrant, on a rétabli les frontières et les expulsions explosent.

http://www.lefigaro.fr/international/2016/01/28/01003-201…

Faudra t-il une révolte généralisée pour que les gouvernants européens écoutent leur peuple et assument leurs obligations élémentaires, à savoir la protection de leur pays et de ses citoyens ?

Car à part Viktor Orban, on ne voit que des chefs d’Etat qui capitulent, totalement complices de  cette entreprise de démolition de la maison Europe.

Jacques Guillemain

 

Source : ripostelaique

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